Eternal Ground
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Une guerre entre l'homme et l'animal dans un monde déchu où seule la loi du sang a sa part à jouer...
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Partagez | 
 

 Ayame Y. Maeko [apprentie espionne de Katsuki]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ellana
Ellana




En savoir plus
MessageSujet: Ayame Y. Maeko [apprentie espionne de Katsuki]   Ayame Y. Maeko [apprentie espionne de Katsuki] Icon_minitimeVen 29 Juil - 15:29

Ayame Yuki Maeko

Carte d'identité
    Nom: Maeko
    Prénom(s) : Ayame Yuki
    Age : 17 ans
    Date et lieu de naissance : 17/01/44, Nakasuma
    Camp : Rebelles
    Rang : apprentie espionne
    Niveau d'activité du gène "S" : 0
    Race : humaine

description
    Description physique : De taille moyenne, des cheveux si blonds qu'ils deviennent presque blancs, Ayame a un joli petit minois qui attire le regard. Si elle n'est pas à proprement parler une top modèle, ses yeux d'un magnifique turquoise plus pur que l'eau du plus pur des torrents vous ensorcellent en un clin d'oeil. Et il n'y pas que ça... Son caractère vivant, sa démarche souple et légère, tout clame qu'elle a quelque chose que les autres n'ont pas, une force étrange et rassurante : la force de sourire quand tout va de travers, la force de continuer quand tout voudrait s'arrêter, la force de se battre contre l'évidence...
    Elle porte en permanence des guêtres aux jambes mais aussi aux bras, pour dissimuler des cicatrices la plupart fines et quasi invisibles. Plus que de les cacher aux autres, elle veut se les effacer de la vue, refusant de se souvenir de ce jour où elle a du quitter Aki, un gamin à l'époque, mais le gamin qui déjà remplissait sa vie et son coeur de bonheur.

    Caractère : le courage, elle l’a trouvé. Elle a la force de la conviction, et n’hésite plus à se battre pour la cause des siens. Elle n’est pas non plus une chevalière, sans peurs et sans reproches, mais elle a appris à se maîtriser un tant soit peu. Il lui arrive parfois de craquer, et de traverser des phases de doute… Toujours aussi exubérante et joyeuse, Ayame fait souvent preuve d'une bonne humeur communicative. Franche, sincère, elle dit toujours ce qu'elle pense, sans délicatesse ni faux semblants. Elle a hérité de son maître, Katsuki, une tendance très nette à dire les choses de la manière la plus efficace et bruyante possible. Elle ne se laisse plus marcher sur les pieds, défend haut et fort ses idées, n'hésite pas à dire même à Farell que telle ou telle chose devrait être faite autrement, bref, c'est une jeune fille qui sait ce qu'elle veut.

    Manies & Tics : [libres]
    Passions : [libres]
    Autres particularités : [libres]


Biographie
    Histoire : Le 17 janvier par un jour de neige, je suis née. Ma mère et mon père me nommèrent Ayame Yuki (neige) Maeko. Nul n’aurait pu savoir que dans l’écrin de bonheur qui vit ma naissance, un destin cruel se mettait en branle…

    « Maman, dit, maman pourquoi on doit toujours se déplacer ?
    - Parce que des méchants hommes nous veulent du mal ma petite puce.
    - Mais pourquoi Maman ? »

    Ce à quoi on me répondit que nous étions différents. Je ne compris que plus tard. J’avais désormais 4 ans. J’étais une petite fille curieuse et éveillée. Ma mère, Maëlle, et moi nous déplacions toutes les semaines environ. Je n’avais aucun souvenir de mon père. Ma mère me raconta, sans que je ne comprenne vraiment, qu’il était scientifique, et qu’elle-même appartenait à une race nommée Shorder. Elle me fit la démonstration de son pouvoir en se transformant en un magnifique chat de race norvégienne. Comme elle l’avait fait à mon père. Il n’avait su oublier la haine qu’il vouait aux Shorders. Renié sa femme, renié son enfant. Tout ça, je ne le sus pas. Je ne compris pas. Depuis, notre éternel voyage avait commencé. Régulièrement ma mère disparaissait, parfois un jour, parfois une semaine. Elle me laissait cachée, avec tout ce qui me fallait. A 5 ans, je savais déjà me débrouiller. La vie, cruelle institutrice m’avait appris ce qu’il fallait savoir pour survivre dans notre monde sans pitié. Quand je lui demandai où elle partait, Maman me répondait qu’elle avait une mission. Elle me disait qu’elle faisait partie d’une Division. La Division Noire je crois. Mes souvenirs sont très troublés. J’étais heureuse. Je rayonnais. Ma mère et moi. J’avais tout ce dont j’avais besoin. L’amour que nous nous portions, notre relation mère-fille. Je ne me transformais pas. Je ne le fais toujours pas. Suis-je, ou non, comme Maman ? Je l’ignore. Je le saurai bien un jour. Mon premier souvenir désagréable date de mes cinq ans. Je rentrais dans notre cachette. La neige était tombée, et sa douceur cotonneuse, sa froideur m’émerveillait. Je retrouvais ma mère en train de se battre. Elle hurla dés qu’elle me vit :

    « Va-t’en Ayame ! Cours ma puce »

    Je n’en eu pas le temps. Quelqu’un s’approcha de moi et me projeta vers ma mère…
    « Maman, murmurai-je, Maman, j’ai peur.
    - Ne t’inquiète pas, ma puce, je suis là. Je serai toujours là pour toi. Tu vas t’en aller d’accord ? je vais parler aux deux monsieurs, et toi tu courra. Tu ne te retourneras pas, hein, mon petit iris des neiges ?
    - Et tu me rejoindras ?
    - Bien sûr ma chérie. »

    Ce jour là, je vis le sang pour la première fois. Les deux hommes qui ont tuée ma mère ne sont que des souvenirs flous. Je ne les reconnaîtrai sans doute pas si je les croisai. Je courus, courus, de toute ma vitesse. Un peu plus tard, je me tapissai dans un recoin enneigé de la vieille ville. Je frissonai dans le froid, mes lèvres bleuies, mes bras serrés autour de mon corps. Ireno me trouva à ce moment là. C’était… comme avoir enfin un père. Il me recueillit, et s’occupa de moi. Je me souviens de notre rencontre. J’étais seule dans le froid, et en le voyant arriver, les larmes me montèrent aux yeux. J’avais peur, peur de revoir ceux qui avait attaqué Maman. Mais ce n’était pas eux. L’homme était de petite taille, les cheveux bruns, il me demanda d’une voix pleine de douceur :

    « Pourquoi es-tu seule, petite puce ? Tu as un nom ?
    - A… Ayame.
    - Tu ne devrais pas rester là Ayame. C’est dangereux, et puis il fait très froid.
    - Je … je ne sais pas où est ma maman. »

    Il s’était assombri. Il avait compris bien avant moi, en remarquant le sang qui éclaboussait mes vêtements. Il me porta et me rapporta dans sa base. Le campement des chasseurs. J’étais une fillette qui s’était recroquevillé sur elle-même. Je ne comprenais rien à ce qui m’entourait. Mon entourage, c’était Ireno, seulement Ireno. Il m’apprit à me battre pendant toutes les années que je passai avec lui. J’étais de nouveau heureuse, dans la mesure du possible. On me dit que je me battai bien. Je dominais tous les autres élèves des chasseurs, parfois même plus âgés que moi ; On me félicitait. Je connus quelques futurs chasseurs sans le savoir. J’accompagnais souvent Ireno en ville. Il ne vivait pas dans la bâtisse avec les autres chasseurs. Ma vie avait un nouveau sens. Ma mère m’avait appris la souplesse, la discrétion. Mon ‘père’ m’apprit l’art du combat à main nue. Il m’offrit même une petite dague, en me disant que je ne devais que me défendre avec, en cas de soucis.
    Quatre années passèrent ainsi. Sans le savoir, je devenais un parfait petit soldat. Ireno était mercenaire, il me l’apprit plus tard. Ainsi mes deux tuteurs étaient opposés… Il mourut de la même manière que ma mère. Assassiné. Je ne le savais pas, mais il avait tué plusieurs ‘traîtres’, et beaucoup de Shorders. Je ne trouvais cette fois qu’un cadavre, encore chaud. Je ne vis pas les deux ombres qui s’éloignèrent. Elles me virent. Tandis que je répétais encore et toujours le nom de mon ‘père’, dans une plainte déchirante. A nouveau, le sang macula mes mains. Marqua ma vie. Je ne comprends toujours pas pourquoi un chasseur si dévoué à la cause des hommes sauva une fillette qui venait du camp ennemie. Je ne me transformai toujours pas. Le don Shorder me paraissait interdit. A 9 ans, une fois encore, on détruisit ma vie.
    Je décidai alors d’oublier les liens. Oublier le passé. Tout. Je chérissais ses souvenirs, tandis que je vivais seule dans la rue. J’étais souvent sale. Je chapardais de quoi manger, et vivait dans les ruines de la vieille ville. Pleurant quand j’étais seule. Pleurant mes chers disparus… Je savais me défendre contre les voyous. Je rencontrai ainsi Aki. Il s’était nommé ainsi lui-même. Amnésique jusqu’à un certain point. Il ne se souvenait pas de son nom, mais savait que ses parents étaient morts. Deux Shorders… Nous nous liâmes, malgré ma promesse de reléguer ça au passé. Frère, et sœur. Et même plus. Aujourd’hui encore je l’aime. Je lui souhaite tout le bonheur que je n’ai pas…
    Nous vivions désormais ensembles. Aki, contrairement à moi, ne savait pas se battre. Je n’aspirai plus qu’à nous protéger. Bien des fois, je le tirai d’un mauvais pas. Il y eut une fois de trop. Une troisième fois, on annihila le bonheur que je m’étais construit. J’avais alors 10 ans. J’étais parti nous trouver de quoi manger. C’était de plus en plus dur, et Aki n’avait plus la discrétion nécessaire. Je me chargeai donc de cette tâche, de bonne grâce. Quand je revins, il était menacé par une troupe d’hommes plus forts que d’habitude. Je le sauvai. Interpellant les hommes :

    « Eh ! Qu’est ce que vous cherchez à mon ami ?? »

    Ils n’en crurent sûrement pas leurs yeux. Qu’une gamine de ma taille ose s’opposer à eux. Je ne me démontai pas. J’étais capable de tout pour Aki. Je serai allée en enfer pour lui. Il me donna le courage que je ne possédai alors pas.

    « Qu’est ce qu’une souris comme toi peut bien y faire ?
    - Ça … »

    Je m’opposai à eux avec toute la force dont j’étais capable. J’en mis un au tapis, sur les trois. Un miracle. Je gisais au sol, blessée, un bras cassée, quand je me rappelai qu’Aki était toujours là. Je lui fis signe. Il se pencha sur moi.

    « Fuis… Loin. La forêt… On m’a dit que les amis des Shorders y étaient bienvenus… Vas-y. Fais ce que je ne pourrai pas faire…
    -Je …
    - Fais le ! »

    Je me redressai, faisant appel à mes dernières forces. J’attaquai de nouveau, avec tout ce que j’avais. Appelant à moi l’image d’Aki. Il fit ce que je lui ordonnai. Ma dernière image consciente, ce fut sa course. Ils me rouèrent de coup. Sans pitié. Je tombai au sol. Baignant dans une mare de sang. L’image d’Aki s’enfuyant dans la neige qui recouvrait le sol une fois de plus brillait comme un phare. Je l’avais sauvé. Je pouvais être forte. Je ne vis pas celui ou celle qui me secourut. Je ne me réveillai que bien plus tard. J’étais seule. A nouveau. Je laissai les larmes couler. Mon bras cassé était plâtré. Mes blessures guéries. J’avais repris connaissance par intermittence, assez pour comprendre qu’on me soignait… Que le temps filait… Je laissai une lettre, gravée à même le sol. Un iris. Entouré de flocons de neige… et un mot : Merci. Je partais. Quand mon bras fut guéri, approximativement, je cassai le plâtre. Je cherchais quelqu’un. Je partais à mon tour pour la forêt de Loreleï. Je n’y trouvai personne. A 12 ans, je suis de retour en ville. J’y vis parfois. D’autres fois, j’élis domicile dans la forêt. Il ne me reste rien du passé… Rien… Rien qu’une enfance brisée. Les cicatrices de mon dernier combat me marquent toujours… Je cherche quelqu’un. Aki. Le seul ami que j’ai pu protéger. Je lui souhaite tout le bonheur du monde. Ce que je n’ai pas pu avoir… Sur ces sombres idées, je repris mes errances allant là où le vent ou l'intuition me portaient.

    J’errai depuis plusieurs semaines entre Nakasuma et Loreleï. Cherchant encore et toujours Aki. Sans jamais le trouver. C’est dans ces conditions que j’eus mon premier contact avec le clan Rebelle. Ma mère étant ma mère, et mes souvenirs trop lointains, je ne l’avais jamais clairement associé à ce clan. Alors que je recherchai –pour la énième fois- des informations sur Aki dans les quartiers pauvres, j’ai abordé Jamie d’Alkaïma. Bien sûr, je ne savais pas qui il était, c’était seulement ‘mon inconnu’ si serviable et chaleureux. Jamie quoi. Mais tout a dégénéré. Yuki et Alec de Tazuko – eux, je les connaissais, trop bien malheureusement- sont arrivés. Cet abruti de Jamie voulait absolument me protéger à ses dépends. Résultat, il s’est mis à combattre Alec, tandis que je retrouvais Yuki. Elle est limite plus effrayante que son frère. Au moins, lui, tu sais ce qu’il a en tête. Cette fille est plus insondable qu’un puits sans fond ! Enfin bref. Topo final : j’ai eu la bonne idée de me pointer devant le frérot, qui du coup a vu que j’étais lié aux Shorders (c’est sans ambiguïté de sauter entre deux abrutis du sabre qui se tape dessus. On prend forcément parti. Et bah, même pas ! Je voulais juste avoir des informations sur mon ami mais bon…). Fin de l’histoire : moi sous le bras de Jamie qui détale (qu’est ce qu’il court vite quand il veut) puis moi sur le dos de Jamie en tigre –qui détale toujours, vous l’aurez deviné- et moi qui me retrouve embarquée par les Rebelles. Je dois dire que ça me convenait parfaitement. J’ai retrouvé là l’espionne qui m’avait soigné lors de ma convalescence, Katsuki d’Ayako. Très énergique, décidée. Quand j’ai manifesté le souhait de devenir espionne, elle est tout naturellement devenue mon maître. Tadam, fin de l’histoire jusque là. Et toujours pas de Aki à l’horizon..

    je me suis finalement retrouvé sur le champ de bataille. Encore une fois, j’avais insisté auprès de Kaillane et Katsuki pour qu’elle me laisse venir avec elle. J’avais pas un grand rôle dans tout ça, mais c’est mieux que rien non ! J’ai fait le guet pendant que mon maître et ses camarades libéraient des Shorders prisonniers du centre. Je crois que j’ai eu la frayeur de ma vie quand la terre elle-même s’est mise à trembler. Et vlan second impact, hop, c’est reparti, les Hybrides apparaissent, les scientifiques deviennent fous –rectification… ils l’étaient déjà, génial il y a une chose qu’a pas changé !- et la guerre continue. Après tout ça, nous sommes retourné au campement soigner les plaies, enterrer nos morts. Une des espionnes, une certaine Ellana est devenue maître d’armes des Hybrides. L’étant déjà elle-même depuis ses six ans, c’était forcé. Aki est arrivé un peu après ça. J’ai eu l’impression qu’on me libérait de chaînes extrêmement lourde en apercevant sa tête d’abruti. J’ai pleuré aussi. Beaucoup. Je l’ai un peu engueulé pour la forme et voilà. Tout redevenait parfait. Comme avant. Non, une chose avait changé. J’avais d’autres amis. Mon monde s’était agrandi. Jamie était comme un grand frère qui guide mes premiers pas, Katsuki un maître en or. Kaillane était une espionne très avisée, et une très bonne mère aussi. Ellana devenait de jour en jour une meilleure institutrice, avec l’aide de Kyo. Zack était quelqu’un d’explosif. Je dois dire que je l’adorais. Farell. Ma foi, c’était Farell. Ah oui, autre chose avait changé. J’avais comme l’étrange impression que Katsuki déteignait sur moi. Notamment au niveau du langage.. Je comprends pas d’où sort cette impression … Vous voyez vous, franchement ?

    Avatar : non défini
    Famille & autres relations : En tant qu'espionne de la Guilde, elle a des liens avec les membres de celle ci, connaît la plupart des gens participant activement à la lutte contre Osiria. Ces liens devront être définis à l'inscription par MP avec les joueurs. Ici ne sont présentés que les deux plus importants.


    Aki Keijuka
    apprenti sentinelle

    Aki, c'est à la fois l'ami, le frère qu'elle n'a jamais eu. C'est l'être qu'elle aime le plus au monde, qui l'a fait devenir une petite femme courageuse et décidée, c'est celui pour qui elle est prête à tout sacrifier.

    Katsuki d'Ayako
    espionne

    Ayame et Katsuki étaient faites pour s'entendre. Katsuki est devenue le maître d'Ayame, et ce choix était au fond l'évidence même. Avec leurs caractères respectifs, on ne peut guère s'étonner de voir à quel point elles s'accordent. leur entente est faite d'apparentes disputes, de prises de tête, mais en réalité, c'est surtout un jeu qu'elles ont instauré entre elle et qui témoignent de leur complicité.


Adoption
    Créateur : Ellana [a été jouée par celle ci pendant un certain temps, pour plus d'infos sur le personnage, s'adresser à elle]
    Pour une demande d'adoption : Compléter la partie caractère et physique à votre sauce, si vous voulez personnaliser un peu Ayame, demandez à Ellana, c'est possible
    État : LIBRE - PRIS - RÉSERVÉ

Revenir en haut Aller en bas
https://eternal-ground.forum-actif.net
 

Ayame Y. Maeko [apprentie espionne de Katsuki]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Ayame Maeko [humaine]{apprentie espionne}
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Eternal Ground :: Personnages-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser