Kalia Tilwan
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En savoir plusPUF : Tari
Nombre de messages : 22
Age : 30
Double Compte : Aki Keijuka
Personnage Principal
Race: Humain
Clan: Scientifique d’Osiria Corporation
Armes: un petit couteau
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| Sujet: Kalia Tilwan (D.C. d'Aki)  Lun 14 Mar - 0:39 | |
| Carte d'identité  Nom: Tilwan
Prénom(s) : Kalia
Age : 19 ans
Date et lieu de naissance : 12 juillet an 42 de la nouvelle ère à Nakasuma
Camp : Hommes
Rang : Scientifique à l'institut E.B.M.M d'Osiria Corporation, chargée de la recherche sur le gène S, médecin légiste
Niveau d'activité du gène "S" : 0
Race : Humaine
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description Description physique :
De longs cheveux d'un blond si pur qu'il se couple avec la blancheur quasi cristalline de son visage en des teintes angéliques, noués grossièrement dans une longue natte, laissant quelque mèches balayé son visage. Un visage d'une blancheur tout aussi immaculée, dans lequel on croirait pouvoir voir à travers. Des yeux rouges, rouges comme le sang ou comme la passion qui les anime, déterminés par seul et unique but, détruits par le fruit de l'histoire. Un corps fin et élancé, des formes généreuses et un maintien sur et puissant. Son corps paraît plus fragile que la porcelaine et ses grands yeux semblent être ceux d'une poupée, une marionnette qui n'agirait que guidée par des passions destructrices qui l'animent. Fruit d'une union rare entre un albinos et une humaine elle à conservé toute la beauté des attraits de ses deux parents ce qui fait de Kalia une jeune femme particulièrement belle, mais d'une beauté fascinante et non-conventionnelle. Elle a de longs doigts fins et une peau extrêmement fine et fragile. Son corps est recouvert de nombreuses blessures et juste au bas de son dos un tatouage représentant des ailes d'anges ensanglantées.
Caractère :
La normalité n'est pas un mot qu'elle connait et sa vie et son caractère en sont totalement dépourvus. Perverse dans l'âme et guidée par une soif de connaissance et un esprit scientifique elle est devenue extrêmement sadique et c'est son trait le plus marquant. Derrière un visage qui peut paraître angélique et un sourire quasi-permanent qu'elle arbore, elle cache la personnalité d'un monstre, un monstre dont la soif de sang est inégalée. Elle est hypocrite et séductrice, elle attire les personnes dans ses filets et ne ressent jamais aucun remord. C'est une jeune fille qui inspire la froideur, de l'âme et du corps. Son pêché le plus grand serait la luxure, et ses nombreuses expériences sexuelles, des plus étranges, en témoigne. Elle ne ressent pas d'amour, elle ne ressent pas de bonheur, elle ne ressent que la joie lorsqu'elle entrevoit la souffrance. Les sentiments lui sont interdits, elle les hait et les rejettent, elle aime le silence rassurant de la mort qui l'entoure, elle aime l'histoire que raconte les corps, et aime leur raconter des histoires. Elle trouve la mort bien plus attrayante que la vie mais reste, paradoxalement, très attachée à la sienne, plus que tout autre chose d'ailleurs. Elle voit dans la mort, et les morts, un moyen de fuir son quotidien, qui peu à peu s'est transformé en une atmosphère de mort permanente, toujours, autour d'elle. Elle n'a plus aucun contact avec ce que l'on peut appeler le monde extérieur, les seuls qu'elle gardent sont ceux avec les scientifiques d'Osiria et ces amants d'un soir. Elle est cependant encore très liée à ces sujets d'expériences, elle leur voue une certaine affection, elle a comme le regard d'une mère face à ses enfants, lorsqu'elle va pour expérimenter un sujet, elle parle comme à ses enfants à tous ces pauvres âmes en peines victime de sa folie.
Elle est cependant dotée d'une intelligence hors du commun, et d'une mémoire quasi hors-norme. Elle use de ses talents au profit d'Osiria et bien sur au sien. Ses capacités intellectuelles lui ont toujours valu la reconnaissance et le respect et il est vrai que même en usant de méthodes peu conventionnelles elle est toujours arrivé à des résultats excellents, qui font presque oublier son anormalité. C'est une jeune fille qui n'est pas non plus profondément méchante, en réalité elle ne se positionne pas dans cette guerre, même si elle est du coté des humains, car elle œuvre pour eux, au fond d'elle humain ou shorder cela n'a pas d'importance. Elle cherche toujours la vérité et a l'esprit très ouvert et curieux, elle fouinera n'importe où jusqu'à l'obtention des réponses aux questions qui la tracassent. Elle ne tue jamais sans raisons, et même si ses raisons peuvent paraître déroutantes, elles sont pour elle importantes, ainsi elle a plaisir à faire souffrir mais pas à tuer, de plus ce sadisme ne se manifeste pas tout le temps et en présence de certaines personnes elle peut être presque normale, cela dépend de l'importance de la personne à ses yeux, du respect qu'elle lui portera, plus que de l'affection. En bref tout aussi anormale qu'elle peut l'être c'est une jeune femme extrêmement talentueuse.
Manies & Tics : Elle a la fâcheuse manie, si on peut appeler ça comme ça, de parler aux morts qu'elle dissèque, voir même aux sujets de ses expériences, mais cela de manière tout à fait naturelle, elle arbore toujours un ton détaché qui ne laisse entrevoir aucune émotion.
Passions : Disséquer les gens. Oui, c'est vraiment sa passion avec celle de les embêter, des faire des expériences sur eux ou de les faire souffrir, Kalia est une grande sadique mais ce sadisme caché sous son image de petite fille sage la rend d'autant plus effrayante.
Autres particularités : Elle est quelque peu nécrophile sur les bords.
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Biographie Histoire :
La vie nous réserve parfois des surprises, des bonnes, des mauvaises, rien n'est jamais certain et quand elles apparaissent on ne sait quoi faire, exprimer de la joie, de la tristesse, de la colère ou de la haine … La naissance de Kalia, pour sur, c'était une surprise, elle est née d'un amour interdit et caché, entre un aristocrate d'une famille conservatrice et une jeune femme médecin., d'un albinos et d'une magnifique jeune femme blonde, de deux amants dont le fruit de leur amour fut celui de leur destruction. La haine, la mort, voilà ce qu'attendais Kalia à sa naissance, et seuls ces deux sentiments ont régis le début de son existence. Une haine incommensurable de la part d'une mère déchirée par la perte de son amour, amour qu'elle ne pouvait même donner à sa fille unique. Seule restait la haine dans les sentiments de la jeune mère de Kalia, la haine et la colère, contre le monde entier, contre la vie, contre l'amour, tout cela répercuté sur le seul petit être qui pouvait en subir les conséquences. Et ces conséquences elles les a subies, des années et des années, mais ce qui semble si étrange, c'est que la jeune femme n'a jamais cessé d'aimer sa mère, jamais, un amour à sens unique, par une jeune fille qui a sans cesse chercher le regard de sa mère, et dans ses yeux, une lueur d'amour, une perle d'affection.
Kalia était alors âgée de neuf ans, neuf années de vie a porté les marques de la haine de sa mère, qu'elle porte encore, a porté la souffrance de cet amour perdu, neuf ans a cherché son père et l'amour de sa mère. Cela aurait pu continuer des années encore, Kalia était prête à tout endurer, tout prendre si cela pouvait soulager quelque peu sa mère, si cela pouvait atténuer sa douleur. Mais même avec sa fille pour l'aider, la mère de Kalia était rongée par le désespoir, rongée par la douleur, rien ne pouvait plus l'aider, elle ne voyait plus d'espoir dans ce monde et encore moins d'amour, elle avait perdue son âme depuis bien longtemps et elle s'apprêtait à perdre son corps, à jamais. Devant les yeux de sa fille elle mit fin à ses jours, elle se trancha les veines, la douleur fut bien mince face à ce qu'elle avait ressenti jusqu'alors, pour Kalia ce fut d'abord l'horreur puis elle comprit. Elle comprit tout, par sa grande intelligence elle entrevoyait la douleur de sa mère, ses souffrances, son désespoir et elle parvint à comprendre ce qu'elle avait du ressentir, ce qu'elle avait du penser. Mais la vie de la jeune fille ne serait pas plus facile désormais, sa mère était peut-être son bourreau, elle ne la voyait pas comme tel, et elle lui permettait de vivre. Kalia vécu quelques temps dans la rue, pour éviter d'être recueillie dans un orphelinat. Elle erra quelques mois dans les rues, faisant la connaissance de biens d'autres enfants comme elle, auxquels la guerre avait tout pris. Mais Kalia ne se souciait pas de cette guerre, ni de la misère qu'elle engendrait, elle voulais, comme toujours, et même plus que jamais, retrouver ce père qui avait causé tant de misères à sa mère, ce père qui avait entrainé la mort de celle qu'elle avait toujours aimé. Mais cette quête ne serait pas facile à accomplir, la vie qu'elle menait désormais faisait apparaître bien des obstacles entre elle et son objectif.
Mais la vie est faites de chance aussi, une chance parfois inouïe, parfois inattendue, toujours signe d'amélioration, de joie ou tout du moins d'espoir... De la chance elle en avait eu aussi, en une après-midi d'automne, alors que les rues lui étaient désormais familières, mais que les doux soirs d'été allait laisser place aux ardents hivers, la chance lui sourit, enfin. Il était plutôt grand, les traits aussi fins qu'elle, le visage blanc comme la neige, tout comme ses cheveux, et les yeux rouges, les même yeux qu'elle, qui dégageait la même haine, la même douleur. Pour quelles raisons ? Regrettait-il alors le départ de sa bien-aimée ? Avait-il des remords , Ou sa haine lui venait-il d'un tout autre événement de sa vie ? Voilà les questions qui s'insinuèrent dans l'esprit de Kalia, alors toute jeune, à la vue de son père, ou de l'homme qu'elle avait identifié comme tel. Il était vrai que les albinos ne couraient pas les rues, mais rien ne pouvait être sur, elle ne connaissais que son nom, un nom qu'elle avait d'ailleurs renié à jamais, par colère et par rancœur, De Loriane. En voyant le yeux de celui qui devait être son père sa conviction grandit encore dans son esprit, elle devint plus forte encore, elle était persuadée de la véracité de ses faits, persuadée d'être face à la cause des malheurs de sa mère, et des siens. Elle aurait voulu souhaiter sa mort, sa destruction, sa souffrance, mais un tout autre sentiment lui prit, à la vue de cet homme, l'amour. Un amour profond régi par le mystère et la fascination que lui inspirait cet homme, un amour qu'elle détestait ressentir. Elle ne voulait pas de ce père, pas de cet amour et ce respect qu'elle ressentais à son égard, elle voulait le mal, la douleur, elle voulait à nouveau la mort, cette atmosphère dans laquelle elle avait grandie. Elle voulait se retrouver à nouveau dans le cocon protecteur de haine sur lequel c'était construit sa vie.
Elle fuya, loin très loin, de cet homme dont le visage resta à jamais gravé dans sa mémoire, elle aurait voulu fuir loin de son cœur, elle aurait voulu ne plus ressentir cet amour, ne plus ressentir cette fascination grandissante, mais rien n'y faisait, elle avait beau se persuadé de le haïr son cœur lui disait le contraire, les faits étaient là, la science avait fait de lui son père et son corps l'avait reconnu comme tel, tout comme son cœur. Pour ne plus avoir à penser à cela, elle prit la décision de se présenter à l'orphelinat, d'elle-même, pour ne plus se considérer comme la fille de ce père, mais bien comme celle d'une mère morte de désespoir et d'un père considéré comme tel. Bien sur elle ne pouvait changer le passé mais elle pouvait tout du moins apaiser le dilemme qui se créait en elle. Elle fut scolarisée et c'est à l'école que l'on découvrit ses extraordinaires facultés intellectuelles. Après trois années à l'école, quelqu'un vint un jour pour proposer de l'intégrer dans une école spécialisée pour enfants surdoués; ce qu'elle accepta. Sa vie à l'orphelinat était finie, elle allait quitter les bas fonds où elle avait vécue, pour se rapprocher encore plus du milieu de son père, se rapprocher même de lui. Elle allait intégrer cette école, y vivre, et y étudier.
Elle intégra une classe scientifique, tout simplement car les effectifs dans cette classe étaient moins élevés. Elle se passionna rapidement pour les sciences et appris très vite. L'étude occupait 80 à 90% de son emploi du temps et elle travaillait sans cesse. A 15 ans elle avait atteint le niveau d'un étudiant de 25 ans et elle ne cessait de progresser. On vit en elle, de par son caractère et sa détermination, l'avenir des scientifiques et Osiria s'intéressa rapidement à elle. Quelques mois plus tard elle fut intégrée à une équipe spéciale de chercheurs d'Osiria, qui effectuait des expériences sur le gène S. Elle en apprit beaucoup sur la nature des shorders, sur leur destin, sur cette guerre qui faisait rage et sur le rôle qu'elle devrait y jouer.
La guerre fit rage, féroce, dans ce monde si vaste que la jeune fille ne visitait jamais. Un impact plus grand encore que le premier, dans lequel les rebelles qu'elle combattait sans le vouloir jouais le rôle principal. Une guerre avec des morts, des pertes, des cœurs brisés, du désespoir. Tout cela se passait sous ses yeux, elle en était consciente tout du moins elle en avait connaissance mais rien n'y changeait, elle ne pouvait pas changer sa vie, ni son destin, elle était une victime parmi les victimes, une victime, oui, car elle n'avait pu qu'observer cette guerre en silence, sans la comprendre, sans en avoir les moyens, avec pour seul objectif que celui de ramasser les corps de ces futurs amis, âme égarés dans le silence dévastateur d'une guerre insaisissable. Elle avait pris partie sans le vouloir, elle s'était intégrée dans le camp de ceux qui détruisaient et cela sans vraiment en avoir conscience. Elle était du coté de la science, et la science, elle , avait choisi son camp depuis bien longtemps déjà. La vie était ainsi faites de hasard, un hasard qui pouvait bien faire les choses, ou mal les faire, un hasard qui pouvait nous accorder joie ou malheur, un hasard qui régissait la totalité de nos vies, un hasard qui avait fait de Kalia ce qu'elle était et ce qu'elle devait être. Elle allait œuvrer pour une cause qu'elle n'avait pas choisi, par amour pour la science, qui lui faisais oublier son passé.
Avatar : Yakumo Yukari – Komaju Densetsou
Famille & autres relations : //
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Le Joueur Pseudo : Tari
Comment avez-vous connu le forum ? : ben par Ellana
Pourquoi vous êtes vous inscrit ? : D.C. De Aki donc je voulais jouer un personnage féminin
Un commentaire ? : Nah mais je fais un gros câlin à Ellana chou ^^
Besoin d'un avatar ou d'une signature ? : je me débrouille ...
Quels sont les codes de validation ? : Ok by Ellana
Parlez nous un peu de vous : J'ai 17 ans je sert à rien et j'ai la flemme d'écrire sur ma vie dons si par chance j'avais écrit sur la fiche d'Aki allez voir là-bas sinon je resterais toujours un mystère pour vous XD
Le mot de la fin ? : Je vous aaaaaiiime ...
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Dernière édition par Kalia Tilwan le Lun 14 Mar - 23:01, édité 1 fois |
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