| | | .:Yann de Xäan:. [ Chasseur ] |  |
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Zack Tyll'Illianz
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En savoir plusPUF : Kyo
Nombre de messages : 250
Age : 32
Double Compte : Yann de Xaän
Personnage Principal
Race: Shorder
Clan: Les Rebelles Shorders
Armes: Deux sabres
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| Sujet: .:Yann de Xäan:. [ Chasseur ] ![.:Yann de Xäan:. [ Chasseur ] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mar 10 Fév - 1:16 | |
| Carte d'identité  Nom:de Xaan
Prénom(s) : Yann
Age : 23 ans
Date et lieu de naissance : non demandé lors de l’inscription
Camp : la Nation des Hommes
Rang : chasseur – division de terrain
Niveau d'activité du gène "S" : 0
Race : humain
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description Description physique : Yann est un homme de grande taille. Et s'il peut paraitre frêle aux yeux de certains, un simple coup d'œil lorsqu'il retire ses vêtement vous font ravaler votre air! Sans être une montagne de muscles, on sait par son apparence que cet homme a passé une partie de sa vie à s'entrainer à l'art du combat. Il porte les cheveux plutôt courts, mais juste assez longs pour les maintenir hérissés autour de son crane, toujours de manière assez rebelle, car de fait, il ne s'inquiète pas du tout de son apparence. Ces mêmes cheveux font tourner les têtes par contre, de par leur couleur d'un roux clair éclatant, tirant par endroit sur le blond. Ses yeux, tant qu'a eux, sont d'un sombre acajou, et hypnotiques. Toujours inexpressif, froid et très nettement anti-social. Son expression est littéralement concentrée sur son regard. Le reste de son visage est pour la plupart du temps, si ce n'est tout le temps, un brasier sauvage pourtant aussi glacial que le plus froid des hivers. Ses vêtements sont souvent très simples, car comme dit plus tôt, les apparences ne comptent pas pour lui. Il est souvent vêtu d'un t-shirt tout ce qu'il y a de plus simple, avec une veste couleur sombre par dessus. Seule chose à laquelle il s'attache niveau apparence, c'est son pendentif. Pendant au bout de la chaine d'argent, un anneau argent également, gravé d'inscription à l'intérieur, est toujours calé contre le torse de Yann. C'est l'une des deux choses qui ne le quitte jamais. Cela, et ses deux épées courtes à la lame fine et courbée...
Caractère : Froid et distant, il est peu conseillé de se frotter à lui. Armé d'une répartie extraordinaire, c'est avec un sang froid et un dédain non dissimulé qu'il vous enverra sur les roses sans plus d'histoire. Sauvage et indompté, on croirait parfois voir un adolescent déchainé... Mais on se ravise vite. La haine sourde brulant dans chacun de ses regards et qui émane de lui en permanence, qui à elle seule en fait reculer plusieurs, vous fait vite comprendre qu'il ne peut-être un simple adolescent en crise existentielle... Il socialise peu et préfère agir en solitaire. De ce fait, il est très peu bavard, et la plupart de ses réponses à vos questions se résumeront à des monosyllabes. On peut presque dire qu'il s'exprime plus avec ses poings... ou en l'occurrence, ses armes. Il est le plus entêté, bourru, tête brulée et déterminé homme qui soit sur terre! Lorsqu'il a une idée en tête, impossible de l'en faire changer ! Pour le reste, je vous laisse le découvrir par vous même.
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Le Joueur Pseudo : Zack Tyll'Illianz
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Le mot de la fin ? : Vive Eternal Ground! J'espère que vous apprécierez cette histoire ! Elle est de Shaar-Lun et moi, alors que je voudrais la remercier, elle est vraiment super! Merci de m'avoir aider à donner vie à Yann, je t'adore! Et je vous aime tous aussi xD
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Zack Tyll'Illianz
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| | Sujet: Re: .:Yann de Xäan:. [ Chasseur ] Mar 10 Fév - 1:17 | |
| Biographie Histoire : Il était à la base, un garcon tout ce qu'il y à de plus normal. Et étrangement, rêvant de devenir un jour espion chez les Shorder. Mais le destin en voulut autrement... et du à ce que vous lirez maintenant, cette même vie le mena à devenir l'un des chasseurs les plus actif de toute l'armée...
Il est née dans les quartiers pauvres de la zone industriel des nouveau quartiers, en burdure de l'ancienne ville de Nakasuma. Ses parents possèdaient un petit magazin, mais l'argent n'afluait pas comme elle aurait du... Il grandit en aprenant à vivre sans un sous. Avec autant de simplicité que le mots puisse le dire. Mais aussi avec une force de caractère extraordinaire. Pour se défendre contre les moqueries des jeunes plus aisé des NQR, il se forga un caractère de béton. Jeune, il fut engagé dans plusieurs combats de rue. Imprudent certe, mais jamais sans raisons. Et le plus souvent, il s'en sortait avec plusieurs blessures. mais bien souvent vainceur. Plus les années augmentèrent, plus il construivait ce caractère dur à cuire et mi-sarcastique et mi-indiférent. Se batant toujours, mais pour défendre ceux qui subissaient l'opression d'imbéciles. Il détestait aussi l'injustice qu'il ne comprenait pas et qui comdamnait les Shorder à tel existance. À cette époque, il rêvait de devenir espion chez les Shorder, et combatre à leurs coté les Chasseurs, pour cette cause qu'il croyait alors juste. Et ce, jusqu'a ses 17 ans. Année, ou à cause d'un évènement parmit tant d'autre, sa vie prit un autre tournant.
Il était tard, et les derniers de soleil finissaient de disparaitres derrière les sommèts édenté en ruine des grate ciel de l'ancienne ville. Les mains dans les poches, le regard ailleur, Yann avancait le long de l'allée principale de la zone industrielle. Et c'est un cris effrayer et suraigu en provenance d'une ruelle plus loin devant lui qui le fit redescendre sur terre. Froncant les sourcils, il augmenta le pas en continuant d'avancer, le regard fixé sur la ruelle. Lorsque l'intérieur de la ruelle lui fut visible, il stopa le pas et un grondement agacé et grave émana de sa gorge. Encor une fois! Une fois parmit tant d'autre c'était-il alors dit. Une autre fois où il ne pourrait laisser cela se faire sans broncher. Où il se mangerais surement une autre sacrée raclée! Mais il ne les comptait pas, et ne comptait pas non plus ces détailles là.
Au fond de la ruelle, une jeune femme fine et de petite taille à la chevelure lnogue et bouclé était acculer contre le mur par quatres armoires à glaces, empestant tous les un plus que les autres l'alcool. Aucun doute sur leurs intentions... Sutout pas en ces quartiers pauvre, dépravé et de la plus basse classe que la nouvelle ville conaisse. C'étiat chose courrante... Mais Yann détestait les hommes qui se permettaient tel infamie. Atrocement. Plus que les chasseurs encor, à cette époque. Il serra alors les dents et ses yeux devinrent deux topazes enflamé alors qu'il hèla les homme d'une voix provoquante.
" Hey, bande de souillons! Z'avez rien de mieux à faire? "
Les quatres hommes se retournèrent d'un bloc, surprit mais engourdit par l'alcool, et firent face au garcon roux, svelte, campé sur ses deux jambes en position défenssive, les jaugant du regard. En voyant le gamin ainsi sur de lui, ils partirent tous d'un éclat de rire incontrolé. Mais le regard de la jeune femme accroupi et tremblant de tout se membres au fond de la ruelle, d'un bleu éclatant, était rivé sur lui avec une tel insistance, comme si elle voyait en lui sa dernière chance de s'en sortir, le supliant de l'aider.
Le garcon gronda et releva la tête avec défi, encor une fois. Ce n'était pas la première fois qu'il voyait de tel types. Et surement pas la dernière.
" Pff... Bande de crétin, foutez le camp! "
" Ou sinon quoi gamin? Hein? Dégage avant que l'on se fache et rentre chez ta mère. "
" Bin voyon... "
Yann avait roulé les yeux au ciel et avait parlé avec un tel sarcasme que s'en était insultant. L'homme qui c'était adresser à lui gromela, et lui un un autre de ses compagnons s'avancèrent vers lui tandis que les deux autres retournaient à leurs besognes mesquine sans plus d'attention à ce qui se passait derrière. Et ce n'est que lorsque les deux corp lourd de leurs compagnons s'écroulèrent au sol, soné et hors d'état de nuire, que les deux autres s'intéressèrent de nouveau à Yann.
" Tu va regretter d'être venu foutre ton nez dans nos affaire sale gosse. "
Un regard haineux se braqua sur Yann, ne fesant qu'attirer un sourir sarcastique et amusé sur les lèvres de ce dernier. Il arca un sourcil et les deux hommes se jetèrent de concert sur lui. Il ne fit qu'esquiver leurs attaques de simples mouvement fluides des épaules, les mains toujours dans les poches. Puis lorsqu'un d'eux se retrouva dos à lui, il lui envoya un coup de pied dans l'arrière train, ce qui eu pour pur et simple effect de faire tomber l'homme tête première sur le mur de béton. Assomé pour le prochain quart d'heure minimalement. L'autre se facha réellement demant l'insolence du garcon. Surtout que l'alcool et la frustration d'avoir été intérompu dans son élan peu catholique n'aidait en rien. IlSe jeta sur le gamin. Le plaquant au mur, il commenca à le marteler de coup de poings. Plaqué, Yann était impuissant. Et ce n'est qu'une légere perte d'équilibre de la part du souillard qui permit à Yann de lui décrocher un coup de poing en plein visage, se libèrant par la même occasion. à moitié sonné, il tenta de regagner son équilibre. L'autre se rejetait déja dessu. Sa main s'agrippa sur le col du jeune homme, le levant du sol et le projetant au fond de la ruelle.
Yann se retrouva à quatres pattes. Son dos avait heurté le mur de brique. Et il c'était mit à tousser du sang. Perdant des forces de plus en plus. S'il avait combatu énormément tout au long de sa vie, c'était entrainé comem un forcenée depuis l'age de 4 ans, l'adolescent de 17 ans n'était pas un sur homme. Et contre un homme d'age mur, subjuger par la colère, marteler ainsi de coup, ses forces avaient été grandement amoindrit. Il parvint néanmoin à se redresser. Jamais abandoner. En titubant.
" T'en vuex encor le mome? Hé hé! "
Un regard de haine, plus ardent encor que précédament se braqua contre l'infame personage. une expression sauvage sur le visage. Il étendit les bras. Et ses doight habile s'emparèrent des deux gardes des deux épées courtes contre son flanc. Les lames jaillirent de leurs fourreau avec un crissement métalique. Brillant sous la lumière bleuté de la lune maintenant haute dans le ciel. Ce fut peut-être l'expression sur le visage de Yann, ou encre les deux lames éffilé qui le firent reculer, mais quoiqu'il en soit, le souillons batit en retraite, la queue entre les jambes.
Yann s'éfondra, à bout de souffle, le danger enfin écarté le dos contre le mur. Il rejeta la tête vers l'arrière et inspira un bon coup. Puis il rouvrit les yeux et pencha la tête vers la jeune femme aux cheveux sombres qui le regardait, les yeux écarquiller par l'effroit, le soulagement et l'incompréhenssion, puis il arquant un sourcil en sa dirrection et souria malicieusement.
" Veux tu bien me dire qu'est-ce que tu fou dans ce quartier à cette heure? "
La jeune femme c'était alors mit à tremblé et ses yeux c'étaient remplient de larmes. Puis elle c'était jeter au coup de Yann. Elle avait pleuré, incontrolément, sous le coup du choc nerveux, tout en le remerciant d'une voix à peine compréhensible.
" M... merci... merci...m... merci infiniment monsieur! "
" Heu... "
Gauchement, le garcon ne savait pas trop quoi faire. L'attitude de la jeune femme l'avait surprit. Elle du le remarquer, car gèner, un peu comme lui d'ailleur, elle c'était écarter en s'excusant. Yann avait alors sourit et c'était passer une main dans les cheveux.
" Ce n'est rien... Comment tu t'appèle? "
" Léa. Je suis désolé de vous avoir causer tout ces problème... je ... je vien d'eménager, je ne pensait pas que... Et... et vous? Comment vous appeler-vous? "
Elle était devenu rouge comme une pivoine, s'entant qu'elle se mettait de plus en plus les pied dans les plats. Le garcon c'était alors relever et lui avait tendit la main, l'invitant et l'aidant à en faire de même.
" Moi c'est Yann. Et oubli ca comprit? Arrange toi seulement pour que j'ai pas à recomencer. "
Puis il lui avait sourit.Cette nuit là changa sa vie. Car à la suite de cette nuit là, ils devinrent inséparables. Peut-être Yann avait-il développer un sentiment de protection envers elle plus que sur nimporte qui d'autre... Mais quoi qu'il en soit, elle s'emblait s'être autant prit d'affection que lui pour elle. Yann avait aussi tentr de lui apprendre l'art du combat, pour qu'elle puisse savoir se défendre. Et si elle n'était certe pas née pour cela, et qu'elle l'exaspèrait le plus souvent du temp, elle se débrouillait de mieux en mieux, au fils des jours.
Les deux amis étaient très prochent, mais rien de plus entre ces deux là n'avait éclo, contre toute attente de leurs entourage.
Le caractère très particulier, singlan et très affirmé de Yann fesait un étrange contraste avec la personnalité toujours enjoué, douce et souriante de Léa. Mais étrangement, ils se complètaient mieux que nimporte qui. Apportant à l'autre ce qu'il lui manquait. À Yann, patiente et douceur. De l'eau dans son gaz un peu trop explosif si l'on veux. Et a Léa, la force de croire en elle, d'avoir confiance, de s'affirmé. Leurs disputes, et obstinages étaient légendaire! Toujours, l'un comme l'autre avait les répliques les mieux placé pour cloué le bec à l'autre. S'apuyant sur des faits réelles, personne ne se conaissait mieux que ces deux là. Et s'ils s'engeulait soufent, cela finissait toujours en faveur de Léa, et Yann repartait en grondant dans sa barbe. La laissait-il gagner? Non, pas dutout! Elle avait seulement se petit quelque chose qui fesait d'elle la seul à pouvoir avoir le dessu sur lui! Et c'est également lors d'une de ces éternels chamaierrie, trois après leurs première rencontre cette nuit là, qu'un autre événement vint changé sa vie. Le deuxième d'une trilogie...
Léa étudiait en science, à l'institue EBMM à l'époque. Elle était déjà à sa dernière année d'étude, et un poste lui était déjà réservé comme recherchiste. Avec les années et la force qu'exercait la jeune femme sur Yann, le garcon avait finalement réviser ce qu'il pensait des Shorder. C'étiat un Shorder, justement, qui avait tuer les deux parent de Léa, qui étaient eux mêmes scientifiques. Elle ne croyait pas qu'ils .taient méchant, mais n'était pas non plus au courrant des expériences porté sur eux. Pas plus que lui, à l'époque. Elle lui avait fait comprendre leurs travail, de l'oeil dont elle voyait l'institue.
C'étiat un soir comme un autre, banale, alors que Yann allait cherché Léa près ses heures à l'institue scientifique que la dispute éclata.
" T'a l'intention de faire quelque chose de ta vie Yann ou de continuer de cavaler ainsi toute ton existance? "
" Qu'es que ca peut bien te faire de toute facon? "
" Imbécil! Tu peut pas continuer comme ca, prend toi en main gros débil! "
" Ce que je fait de ma vie te regarde peut-être? J'en fait bien ce que j'en veux! Et comment tu m'a triaté?? "
" De débil, idiot! "
Il avait gronder et avait accèlèrer le pas, la laissant derrière. Elle pouvait bien marcher toute seule si ca lui chantait! Il avait donner.
" Idiot... "
Le ton qu'elle avait employer l'avait fait stoper net. Des milliers de fois des disputes semblables avaent éclater entre eux. Mais normalement, elle s'enragait comme lui le rattrapait, tentait de lui mettre une baffe, ils s'engelait de plus belle, et à la première occasion, Léa éclatait de rire. Tout oublier. Ce ton qu'elle avait employer était différent. Trop différent. Il ne l'avait jamais vraiment entendu. La jeune femme était toujours souriante, qu'une fois il avait vue les larmes couler de ses yeux. Ce devit être la deuxième fois. Car lorsqu'il se retourna, elle fixait la chaussé sans la voir. Tête baisser, immobile et poings sèrer. Ses longues mèches de cheveux lui retombant devant le visage. Ne laissant au jeune homme que la chance de voir une larme perler contre sa joue.
" Heu... Léa? "
" Fou le camp... "
Il s'avanca d'un pas vers elle.
" Léa tu... "
" J'ai dit dégage! Fou le camp! C'est ca que tu veux hein? Décamper aussitôt que quelque chose va pas comme tu le veux? Bha reste comme ca, fou ta vie en l'air si ca te chante, c'est plus mon problème! "
Elle avait redresser la tête et le toisait avec rage. Et il lui rendait bien...
" Mais qu'est ce qui te prend bon sang! Arrête de me crier dessu! Ca n'a jamais été ton problème de toute facon! "
" Parce que tu crois que je m'en fou? Imbécil!!! Tu crois que je ne m'en fait pas pour toi? "
" Autant que je m'en fait pour ta petite personne! "
Ils se raprochaient, maintenant rouge écarlate. Leurs cris rageur se répercutant sur les vieux murs de briques des ruelles alentours. La rue était déserte... encor heureux.
" Quoi!? sa voix était maintenant suraigu. Tu te fou de moi? "
" Ca pose un problème? "
" Je te hais! "
Elle se retourna d'un bloc, bouillante et enragé, prète à faire le tour des terres en sens inverse pour rentrer chez elle plutôt que de marcher une seconde de plus dans la même dirrection que lui.
Est-ce que se fut l'instant? Les yeux bleu de la jeune femme à quelques centimètres du sien, ou encor le cris de haine qu'elle avait dirriger vers lui qui le fit réagir? Peu importe, ce fut le déclique. Il n'y pensa même pas. L'instinc prit le dessu. Ce à quoi il ne c'était jamais vriament attendu, n'avais jamais vraiment voulut réfléchir.
Il empoigna la bras de la jeune femme alors qu'elle se retournait et la forca à lui faire face.
" Mais qu'est-ce que tu fou Yann!? Je t'ai dit de... "
Elle n'eu jamais l'occasion de terminer sa phrase. Avec une fougue qu'il n'avait même pas prévu, les lèvres de Yann étaient venu se plaquer contre celles de Léa. Hébèter, la jeune femme n'avait d'abord eu aucune réaction. Mais aussitôt avait-elle prit la mesure de ce qui venait de se passer, elle c'était accrocher à lui avec la force du désespoir. Elle n'avait plus cru cela possible. Yann... c'était Yann. Son ami, rien d'autre. Mais elle avait toujours resentit quelque chose de plus. Depuis le premier jour. Cet imbécil avait été trop aveugle pour s'en rendre compte, et trop imbécil faut-il croire pour se rendre compte de ses propres sentiments. Ca n'avais jamais été son fort à cette tête de mule...
Léa était employé au centre scientifique depuis maintenant trois mois. Et Yann, quand à lui, avec sa maitrise exeptionelle des armes et du combat, avait été recruter par l'institue pour former les Scientifique au combat. Pour leurs permettre d'avoir une base de défence. Le travaille raportait pas mal d'argent, le garcon n'avait même pas hésiter à l'offre du poste. Surtout depuis que sa vision des scientifiques et des chasseurs avait changé. Mais il n'était encor ni l'un ni l'autre. Seulement maitre d'arme. Finalement, il avait réussi à faire quelque chose de sa vie! Et il était promu à un avenir dans se domaine plus que brillant.
Le père de Yann avait sucombé à la maladie, l'année précédente. Et sa mère avait été vivre chez sa propre mère, malade et invalide, laissant Yann agé de maintenant presque 21 ans seul. Il était donc aller vivre dans l'appartement de Léa. Le loyer, à deux, serais beaucoup plus facile à payer. Car si le taudis dans lequel ils restait ne valait pas un sous, le loyer n'en restait pas exorbitant. C'était toujours mieux que d'aller vivre dans les NQR. Là, ils n'avaient même pas l'argent de se payer une cour arrière. Deux jeunes adultes, partant sans rien, ni un sous en poche, ne pouvait rêver d'acheter une maison dans un quartier aisé! Enfin bref.
Chaque mois, Yann se gardait de l'argent de coté. Pour plus tard... Et aussi pour un projet qui lui tenait à coeur. Et qui , avant, ne lui aurait jamais traversé l'esprit. Ce ne serais certainemt pas aussi extraordinaire que ce que ses rêves avaient pu lui montrer. Il n'aurait même pas l'argent de faire quelqu'onque réception. Rien ne serais plus simple...
Lorsqu'il eu ramasser le minimum d'argent nécéssaire ( et il ne pouvait se permettre d'en mettre plus de coté ) le garcon se rendit en ville. Son argent flambé, une petite boite simple au fond de sa poche, il rentra chez lui. Elle fesait le dinez lorsqu'il rentra. Et comme toujours, lorsqu'il ouvrit la porte, Léa se retourna vers lui, un magnifique sourir au lèvres, ses yeux pétillant, les plus beau du monde... simplement pour lui. Le même sentiment qu'a chaque fois qu'elle posait ce regard sur lui l'envahi. Comme si c'était toujours la première fois. Il l'aimait. Il en était maintenant certain. Plus que certain de l'aimer plus qu'il ne S'aimerais jamais lui même...
" Léa, j'aimerais te parler... "
" Bon sang que t'as l'air sérieux! Qu'est-ce que t'a encor été inventé? Me dit pas que t'a encor défoncer la voiture des voisin parce que si c'est le cas, on à plus un rond pour les remboursé! "
Il sourit doucement et s'avanca vers elle.
" Non... c'est... pas totalement ca. "
" La voiture de qui alors? "
Il roula les yeux au ciel, exaspèrer, puis l'attrapa par la taille, l'enlacant doucement et l'embrassa tendrement. Lorsqu'il la relacha, Léa le contempla, inquiète, sérieuse tout d'un coup.
" Yann... Qu'est-ce qui ce passe? "
" Je t'aime. "
Elle fronca les sourcils.
" Hum... Je t'aime aussi. Mais je m'attendait à une plus grande nouvelle que cela, c'est pas du nouveau. "
" Non, plus que ca. Tout va de travers dans ce monde. On ne sais pas où l'on sera demain, Vivant ou mort. Les tentions à l'institue... je suis sur que tu les à remarquer toi aussi. Quelque chose se prépare. Quelque chose de gros. Je ne sais pas quoi, mais j'aime pas ca. Déjà que ce monde dans lequel on vit n'est pas le plus sur qui ai exister... Et j'ai aucun contrôle là dessu. Si tu savais comme je voudrais! Mais ca à l'air que non. Je ne peut avoir contrôle que sur une seule chose. Et je veux le faire jusqu'à la fin de mes jours. C'est t'aimer... et tout faire pour te rendre heureuse. "
Le regard de Léa c'étiat accrocher au sien, un peu différament que lors de cette première nuit, où il l'avait sauvé des quatres hommes. Une main dans sa poche, Yann jouait nerveusement avec la petite boite de carton.
" Je ne sais pas où on va être demain... Mais je sais que quelque chose de pas trop bien se prépare. Jamais je n'avais vue autant de chasseurs à l'institue. J'ai peur à une guerre... une rébellion. Un combat se prépare. Quelque chose comme ca. J'ai vriament un mauvais présentiment. Et je sais bien que chaques seconde que l'on vit dans ce monde pourrait bien être les dernières. Et je sais parfaitement ce que je veux faire de ces dernières secondes. Peu importe quand elles serons. Demain, dans trois ans... ce soir. Mais... c'est avec toi que je veux les passer. "
Sous les yeux estomaquer d'un bleu éblouissant de Léa, le rouquin sortit le petite boite simple de carton. Rien de plus simple... Ce serais là, tout simplement. Entre eux deux. Sans cérémonie. Seulement eux deux, yeux dans les yeux...
La jeune femme, les doight tremblant prit doucement la boite que Yann lui tendait un peu gauchement. Elle retira le couvercle et découvrit ce que l'intérieur lui avait été caché. D'une grande simplicité, la bague en argent certain au fond de la boite. Rien ne lui fesant honneur... Un peu travailler, fine et délicate, la bague n'était pas de très grande valeur. C'était le seule chose qu'il avait pu acheter avec l'argent qu'il avait ramasser... Mais néanmoin, les larmes coulères le long des joue de Léa. C'était la troisième fois de sa vie que Yann voyait la jeune femme pleuré.
Comme elle ne disait rien, Yann prit doucement l'anneau des main de celle qu'il aimait.
" Regarde... "
Inclinant la bague, la lumière diffuse qui émanait de la fenêtre éclaira des inscriptions à l'intérieur. De simples écriture y étaient inscrite.
* À Léa. Je t'aime. Yann *
Elle en avait perdu la voix. Son regard était rivé vers l'aneau argenté, se demandant si elle ne rêvait tout simplement pas... Ni croyant pas vraiment. C'était tout sauf le Yann qu'elle conaissait! Au bout d'un moment, éberluer, ne sachant pas vraiment comment réagir, elle leva ses yeux bleu intense sur lui, cherchant une réponce sur son visage, tout en bégaillant sa question.
" Pour... pourquoi? Je... je veux dire que... Tu déteste ce genre de truc d'habitude. Tu ne voulais même pas en entendre parler, je ne... je... "
" Mais pour toi c'est important, non? "
Il était d'un sérieux qu'on ne lui conaissait pas. Pas son sérieux de normalement... différent. Léa planta son regard dans le sien. En ayant même oublier de respirer. Chaques jours était une épreuve... et aucun d'eux ne pouvait prédire où ils seraient demain, mort ou vif.Elle avait tellement peur de le perdre... Ce monde était tellement imprévisible. Tellement... dangereux. Tous ou presque vivaient en niant cela. Pas eux... Et le simple fait qu'il puisse avoir peur de la perdre, autant qu'elle pour lui, provoquait en elle un sentiment incomparable... Inimaginable. Elle ne savait même pas si elle devait pleuré, crier de joie ou lui sauter au coup et l'embrasser.
Yann lui, se perdait une fois de plus dans ce regard bleu intense... Ce regard qui lui avait fait voir la vie d'une toute autre manière. Et surtout, qui lui avait donner un but. Tant qu'elle vivrait, il aurait ce but. Tout le reste ne comptait pas, tant et aussi longtemp que le regard bleu de Léa se poserais sur lui... L'expression qu'il lut sur le visage de cette dernière le fit sourir doucement, ses yeux ambré sombre pétillant tout d'un coup. Elle n'allait pas dire non...
" Alors peu importe ce que j'en pense, tant que tu es heureuse, tout le reste ne compte pas. Alors... Léa d'Eleazar... voulez-vo... "
Il n'eu pas l'occasion de terminer sa phrase. Pour ce coup là, ce fut elle qui lui sauta au coup pour l'embrasser. L'homme la prit dans ses bras, la soulevant de terre et la fesant virevolter dans les airs.
" D'habitude faut pas attendre que l'homme aille terminer sa phrase avant d'avoir une tel réaction? "
" Imbécil, t'a même pas besoin de poser la question, tu connait déjà la réponce. Je t'aime... "
Un immance sourir c'étala sur les lèvres de Yann, qui pour une fois, ne releva pas l'insulte!
" Je t'aime aussi... "
Aussi simple cette fillancaille fut t'elle, elle devait surement être la plus belle qu'eux d'eux n'aurait pu l'imaginer. Et elle resterais à jamais leur plus beau souvenir... Cet événement marqua le troisième et dernier événement qui bouscula la vie de Yann,,, En bien. Jamais il n'avait été aussi heureux. Plus qu'il n'aurait d'abord penser avoir droit. Aucun riche ne parvenait à lui faire envie. Tout ce qu'il voyait... c'était elle. Elle était son univers. Et il était le sien...
À deux, ils vécurent très simplement, se débrouillant avec les moyens du bord, comme on dit. Gagnant seulement asser d'argent pour survivre correctement. Léa comme assistante technicienne en laboratoire, Et Yann en tant qu'entraineur. Les temps s'enuagaient d'avantage, de jours en jours. De plus en plsus de troupes de chasseurs arpentaient la ville, jours et nuit. Montant la garde derechef à l'institue. La tention était palpade chez les haut gradé, mais aucune information sur ce qui se passait ne se laissait filtrer. J'usqu'au jour où Yann apprit par un chasseur nouvellement promu au grade de chef de division, que les troupes Chasseurs avaient de plus en plus de difficulté à contré les attaques des Shorders. Le clan de ces derniers ne scècait de grandir en force. D'autres raisons, par dela tout cela, et causant cette tension, n'avait été révèler au jeune chef. Yann n'en su jamais vraiment plus. Mais ce qui souvent ne peut être dit, est dangereux... Depuis ce jour là, une certaine angoisse se nicha au creux de la poitrine de l'homme. Comme si un mauvais présentiment tentait de l'avertir de quelque chose...
Un ans après leurs mariage, Léa anoncait à Yann qu'elle était enceinte. Et même si la joie subjuga ce dernier, son angoisse ne fut qu'accroitre. Les jours passaient, les semaines. Mais rien ne semblait vouloir éclater. Si les chasseurs étaient toujours là, et paar la même occasion cet étrange tention, les choses semblaient c'être stabiliser. Ce ne devit se produire que 5 mois plus tard...
Yann venait seulement de terminer sa dernière séence d'entrainement avec un groupe de jeunes scientifiques, et s'aprètait à aller chercher Léa au batiment de recherches, situé plus loin dans l'institue. Rangant ses deux lames à leurs places contre son flanc, il s'engaga dans les long coridors blanc immaculé, illminé d'une lumière artificiel. Ce n'est qu'a ce moment là que l'alarme retenti. L'homme fronca les sourcils, serra la machoires et empoigna la garde de ses épées courtes.
" Merde... "
Ses instinc combatant, tout ce qui fesait de lui un maitre d'arme c'étit réveiller en lui. Mais plus encor, tout ce qui fesait qu'il aimait plus que tout au monde Léa c'était mit à s'embraser. Cette alarme, précisément, signalait un danger majeur. Conviant à une évacuation des unités n'ayant pas de formation de cambat, et enjoignant tout les autres à se préparer à la défencive. Cette alarme signifiait, plus qu'autre chose, que des Shorders ou espions c'étaient infiltrer dans l'institue, et que, sans aucun doute, rien ne les empècheraient de blesser ou de tuer un humain s'il venait à croiser sa route.
L'alarme n'était déclancher que depuis une fraction de seconde, mais Yann courrait déjà à toute jambe entravers des couloirs. Ne regardant même pas au passage si les Shorders en cavales se trouvaient sur sa route. Insenssibles à ceux qu'il bousculaient, aux cris des scientifiques apeuré courant vers la sortie. Une seule chose comptait. Plus que tout. Plus que nimporte quoi... Elle. Léa... Son nom résonait dans sa tête. Son coeur batait la chamade. Il lui semblait que le temp roulait au ralenti. Que jamais il n'arriverais aux cartiers ou sa femme travaillait... Et plus atroce encor, son sentiment ... son présentiment qui c'était graver en lui depuis si longtemp semblait se concrètiser, devant ses yeux, à son plus grand horreur.
L'alarme sonnait toujours, long cris assomant résonant dans tout le batiment au complèt. Les lumières d'alarmes rouge vives clignotaient à intervals réguliers, rendant la scène encor plus cauchemardesque que le pire de ses cauchemards lui aurait fait voir. Et enfin elle lui fut visible, la porte du secteur de recherche. Dans son élan, il percuta la porte batante avec son épaule, s'engouffrant sans s'arrêter dans le département. Des cris de surprise retentirent lorsqu'il entra, mais aucun d'eux ne lui firent tourner la tête. Yann empli ses poumons d'air, comme il ne la voyait nul part dans la grande pièce central, et d'un hurlement qui couvrit le bruit cauchemardesque de la puissante alarme, des cris de paniquer et des coups de fusil à l'extérieur, cria le nom qui résonait de plus en plus fort dans sa tête.
" LÉA!!! "
" Yann!! "
Le cris provenait de plus loin, derrière lui. En une seconde, il c'étiat retourner, la cherchant désespèrément du regard. Elle était là, à une dizaine de mètre de lui. Tentant de se frayer un chemin dans la foule en panique. Tendant le bras vers lui. Il se rua vers elle. Et la peur qu'il lut sur ses traits le merqua surement à jamais... Yann repuossa les scientifiques qui courraient dans tout les sens, affairé à la protection de leurs dossiers, tous en état d'alerte, et se fut comme une délivrance. Ses bras se refermèrent autour de Léa comme une enveloppe protectrice. Il apuya sa tête contre le dessu de la sienne. Respirant son odeur, sentant sa cheleur, sa présence. Elle s'acrochait à lui, enfoncant sa tête dans son torse. Elle était là... elle allait bien... Tout irrait bien...
Les coups de fusil dans le couloir, à l'extérieur se raprochèrent, et des cris furent bientôt audible. Un fracas impossible vint défoncer les grandes porte. Yann se redressa et se campa devant Léa, armes à la main, le regard embraser. Il ne laisserais personne... PERSONNE faire quoi que ce soit à Léa. Scientifique, chasseur, Loreleï, Shorder. Personne. Alors que la foulle de scientifiques courraient se réfugier dans les salles adjascente, laissant le passage à la bête, les yeux d'ambre de Yann croisèrent ceux de l'animal... D'un vert émeraude, sauvage... Un tigre fauve immance se tenait camper devant lui, plusieurs mètres plus loin, sa quesu fouettant l'air, et un grondement inhumain émanant de sa gorge. Ses yeux fou analysait les lieux avec une étincelle d'intelligence humaine. Ce ne pouvait être un tigre normal. Ce n'en était pas un. Un Shorder... à coté de lui, accroupi au sol, une jeune femme aux long cheveux noir et aux même regard vert émeraude étonant se tenait prète au combat, un coutelas à la main. L'un et l'autre savait très... mais alors là, TRES bien se battre. Yann le savais. Seulement à leurs aura, leurs posture. Il n'avait pas affaire à nimporte qui. Plus rien à voir avec ces ridiculs et innombrables combats de rue qu'il avait fait toute sa vie avec souillons et bums de la rue... Il serra les dents, et sans se retrouné, s'adressa à Léa avec trop de calme, et une gravité qui fit frissoner la jeune femme des pieds à la tête.
" Vas-t'en. Fille en sécuité. Maintenant. "
Elle resta planté là. Pétrifier sur place, son regard allant de Yann a l'immance tigre, glacé d'horreur.
" MAINTENANT! "
Son cri lui arra cha un gémissement d'horreur, et bien à contre coeur, se retourna et s'élanca vers le fond opposé de la pièce. La bête bloquant tout repli vers les autres pièces ou vers le couloir.
Yann bloquait le chemin entre le fauve et Léa, et avanca vers celui-ci, armes en avant. L'animal gronda et s'élanca, toute griffes et dents dehor. L'homme l'évita de justesse. Il se battit aunsi un moment, esquivant les attaques meurtrières et experte du tigre. Le fesant reculer. L'acculant de plus en plus près du fond de la pièce, là ou Léa se tenait... tremblant de tout ses membres, conaissant l'enfer sur terre. La bête gronda sauvagement et leva sa patte énorme. Yann n'avait pu quéviter, pas attaquer, l'autre devait se fatigué... et le temp lui comptait, les autres chasseurs arrivaient en masse par derrière, dans le couloirs, à quelques mètres à peine de la grande salle. Il profita que l'animal ai le flanc à découvert pour porter un coup de sabre. Mais au même moment où sa lame raflait la chair de l'animal, la patte gigantesque de ce dernier s'abatit violament sur lui. Un os de son bras de brisa dans un bruit éceurant, puis un aute scèda alors qu'il allait s'écraser contre le mur. Sonner, il n'entendit que de loin le cris d'horreur de Léa qui se jetait vers lui.
Tout était flou dans sa tête, il ne cernait plus très bien ce qui se passait autour de lui. Mais il devait se reprendre. Il secoua la tête et étouffa un cris de douleur. Mais cette dernière lui fit reprendre ses esprit. Il rouvrit immédiatement les yeux, juste à temp pour voir le plus horrible spectacle de toute sa vie.
Le tigre avait de nouveau lever la patte, et se jetait vers lui avec la plus vive des haine du monde. Droit sur lui... ou plutôt sur elle. Car au même moment, Léa était apparu devant lui, à quelques centimètres à peine de son visage, des larmes brouillant son magnifique regard bleu... L'horreur l'avait saisit. Il avait hurler. Le brut de l'alarme c'était mèler aux cris d'effroie de dizaines de scientifiques qui n'avaient pas réussi à fuir, au hurlement de guerre des dizaines d'autres chasseurs qui venaient d'entréent en trombe dans la salle, au bruit assourdissant des mutraillette qui battaient leurs plein. Mais tout se brouilla dans ses oreilles. Comme s'il était ailleur. Détaché de cette situation. Voyant comme au ralenti, pertrifié d'effroit, ne parvenant pas à bouger le moindre muscles.
La bête avait stoper son élan et sauter sur le coté avec une agilité extraordinaire pour éviter les balles des chasseurs qui venaient d'apparaitrent derrière lui... Léa avait stoper tout mouvement, le regard figé, horrifier, pétrifier de douleur. Une larme de sang étati venu rouler le long de sa bouche, puis elle c'était affaisser, juste là, devant lui... cinq balles enfoncé dans le dos.
Ce qui se passa autour de lui en dehor de la jeunne femme, Yann ne s'en apercut pas. C'était tellement futil... sans importance... Il serrait le visage de Léa entre ses mains, le regard enfoncé dans ses prunelles bleu immaculé, qui lentement se voilaient...
" Ca va aller ma chéri... Léa, tout va bien aller, je suis là, tu vas t'en sortir... "
Sa voix avait pourtant perdu son aplomb, et ses phrases tentaient elles même de se convaincre. Non, c'était ce qui allait se passer. Il devait en être ainsi. Elle ne pouvait pas mourir... non, c'étiat impossible. Elle ne pouvait PAS mourir.
Léa sourit doucement, calme, belle comme un ange... Ses yeux doux ne voyait que lui, insensible au reste du monde. Et comme toujours, plus réaliste et sage que lui... Alle avait tendu le bras, tremblante, vers la joue de Yann. Ce dernier l'avait prise dans sa main, serrer très fort, et apuyer cette dernière contre sa joue, l'embrassant. Et elle avait murmuer tout doucement d'une voix douce et faible :
" Shut... "
Les larmes étaient monter aux yeux de Yann. Son coeur semblait sur le point de lacher. Il semblait sur le point de mourir. Ca fesait trop mal. Trop mal... C'était impossible, c'était un cauchemard, il allait se réveiller...
" Léa... T'en fait pas, on va te sortir de là. Et demain, on sera à la maison, daccord? On mangera comme à tout les soir dans la cuisine. On irra au travaille chaque matin et... et dans quelques mois, le bébé va naitre... tout ira très bien, ce sera le plus beau bébé du monde et... et tu va être heureuse, je te le promet. Ne t'en fait pas... "
Elle avait fermer les yeux, puis avait inspirer avait difficulté. Son corp avait tremblé, secoué de spasme, puis elle avait rouvert les yeux, de plus en plus loin. Elle avait doucement sourie.
" Non Yann... ne dit pas ca. Tu sais au tant que moi que c'est faux. "
" Non, toi ne dit pas ca, c'est hors de question. "
" Idiot... Je t'aime... "
Et cette fois, elle avait fermer les yeux... sans les rouvrir. Son corp c'étiat mit à trembler d'avantage, puis c'était raidit. Ensuite... plus rien...
Yann était rester figé. Comme mort lui aussi. Tout autour de lui venait de tomber, de s'éfondrer. Son coeur avait scècer de battre, il avait scècer de respirer. Ses yeux étaient fixé sur son visage si doux.... étein. Il ne voyait plus les yeux d'un bleu intense auquels il attachait toute sa vie. Il ne les voyait plus... Ne les verrait plus... Finit... étein... elle ne s'éveillerais pas, le lendemain matin, lui souriant doucement, et il ne pourrait pas se noyer, comme chaque matin, dans son magnifique regard... Envolé... Elle était...
Morte...
" NON!!! LÉA!!! LÉA!!! "
Il la prit dans ses bras. Insensible à la douleur fulgurante qui émanait de son bras et de son épaule brisé. Il la berca contre lui. Pleurant... peut-être pour l'une des première fois de sa vie. Hurlant sa douleur, cette perte... Serrant le corp sans vie de celle qui avait ét toute sa vie, et portant en elle son enfant...
" Je t'aime... Je t'aime... "
Deux ame perdu. Son monde n'avait plus de sens. Tout étiat parti en fumé. Il n'y avait plus rien... Plus rien...
Le son du combat et des cris revenirent à ses oreilles lorsqu'une balle perdu vint ricocher contre le mur juste à coté de lui. L'homme releva la tête, son visage couvert de larme, ses bras et ses vêtements couverts de sang... Ses yeux incendièrent balayèrent la pièce. La femme aux cheveux noirs qui accompagnait le tigre se défendait contre trois chasseurs à la fois. Une ligne de tirreur avaient été posté à l'entré de la pièce, et deux escoides attendaient derrière de porter renfort :a la première. D'autres Chasseurs attaquaient le tigre à coup de sabres de d'épées. Un véritable caho.. un champ de bataille...
Une rage folle s'empara de Yann. Il n'avait plus rien... et semblait è présent avoir perdu l'esprit. Lentement, il se releva. Ses deux armes dans chaque main, de chaque coté de son corp. Son regard avait changé. Il n'était plus le même. Ne le serais jamais plus. Certains chasseurs avaient tourné la tête vers lui, il les avait vue blèmir. Il n'était plus le même... Son regard était plus sombre et enflamé que l'enfer. Son aura, encor plus sauvage. Un monstre... un réel danger...
Il c'était avancer, avait lever ses armes et avait abatu tout ce qui se trouvait devant lui. Sans discernement aucun. Il tua trois homme cette journée là, les trois hommes qui le séparaient de l'énorme tigre. Et alors qu'il s'aprochait de ce dernier, la femme qui l'accompagnait l'avait hèler, accroupi sur le rebord de l'immance fenêtre.
" Jamie! "
C'étiat donc son nom... L'animal c'était retourné, avait cru comprendre ce qu'elle voulait. Il avait lever la patte et balayer d'un mouvement deux homme devant lui avant de s'élancer avec un bon spectaculaire rejoindre son acolite, puis disparaître tout deux à l'extérieur. Yann avait hurler de rage et c'étiat lancer à leurs poursuite. Les larmes de rage et de douleur coulant sur ses joue. Il devait le tuer... c'était sa faute. Sa faute... Il s'élanca à leurs suite, sa blessure craqua lorsqu'il retomba au sol dans un bruit mat. Il hurla de douleur mais se redressa. Tremblant. Et courrut vers eux. Le tigre l'appercut et s'arrêta. Chancelant, couvert de sang et de sueur, les yeux fou, à moitié sonner, dévaster... Yann empoigna ses armes et se placa en position de combat. Le tigre hésita, et l'homme ne parvint pas à déchifrer l'expression étrange qu'il lut dans les yeux de la bête. Il s'enraga encor d'avantage.
" Vien te battre!! Aller espèce de salaud! Vien te battre! C'est ta faute! TA FAUTE!!! Alors vien te battre c'est un ordre!!! ORDURE!!! "
L'animal n'avait pas bouger. Toujours cette expression mystérieuse dans le regard. Yann avait alors sentit une légère pression sur sa nuque. Puis la voix douce de la jeune femme qui accompagnait le fauve murmura à son oreille :
" Désolé... "
D'un mouvement experte, elle avait apuyer sur un point de son coup. Le fesant s'écraser au sol. Hors d'état de nuire. Tout devint flou devant ses yeux. La douleur était tellement intense... mais ce n'était rien comparer au mal qui semblait le bruler de l'intérieur... Il serra les dents. Non... non il ne devait pas le laisser aller... non... il ne ... pouvait pas... perdre ce combat là...
Il sombra dans l'inconscience. Son dernier souvenir fut celui d'une femme sautant sur le dos d'un tigre, et s'enfoncant dans la nuit, poursuivit par quelques chasseurs... disparaissant...
Elle aurait du le tuer...
C'est un homme détruit, à qui tout fut aracher. Un homme qui n'a même pas eu vengence, un homme qui est mort, cette journée là, à l'age de 22 ans. C'est cet homme là, Yann de Xäan, qui vit aujourd'hui.
Il disparut de la carte durant six mois durant. Personne n'eu plus aucun signe de vie de cet homme autrefois apprécier. Après cela, il réaparut. Plus personne ne le reconaissant. Mais tous comprennent... Aujourd'hui, il est craint. Celui qui défendait les plus faibles dans les ruelles des pauvres quartiers de la zone industriel est aujourd'hui synonyme de crainte, sauvagerie. Son regard est devenu un vrai brasier, n'aspirant qu'a une seule chose. Et c'est en regoignant les Chasseurs, que Yann de Xäan entreprit sa quète. Sa dernière... Tuer, celui qu'il n'avait pu tuer, cette nuit là. Tuer... celui qui l'avait tuer... Léa.
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Famille & autres relations :
Léa de Xaan, épouse (décédée)
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Zack Tyll'Illianz
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En savoir plusPUF : Kyo
Nombre de messages : 250
Age : 32
Double Compte : Yann de Xaän
Personnage Principal
Race: Shorder
Clan: Les Rebelles Shorders
Armes: Deux sabres
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| | Sujet: Yann de Xaän [ After Crisis ] Mar 19 Oct - 3:43 | |
| Carte d'identité  Nom: de Xaan
Prénom(s) : Yann
Age : 29 ans
Date et lieu de naissance : 26/11/32
Camp : la Nation des Hommes
Rang : chasseur – division de terrain
Niveau d'activité du gène "S" : 0
Race : humain
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Story board Before Crisis : Chasseur solitaire, Yann ne visait qu'un but, encore et toujours : Trouver les assassins de Léa. Sa Léa. Celle qui occupait chacune de ses pensée. Qui faisait hurler son cœur derrière ses murs sombres et glaciales. Qui grandissait un peu plus chaque jours, par son absence, en douleur et en folie. Ne se mêlant pas aux autres chasseurs, les haïssant presque eux aussi, les faveurs de ceux-ci à son égard étaient loin d'être glorieux. En fait, en ne l'aimait pas non plus. Et si pour la plupart du temps, on l'ignorait aussi bien que lui ignorait le monde, parfois, quelques imbécile prenaient pour plaisir de le provoquer. Plusieurs combats inutile, ennuis et sang couler en décousue. Cela eu pourtant pour effet de faire agrandir le mystère autour de Yann, en attirant du même coup l'attention sur lui, ce qu'il se serait bien passé, mais aussi une sorte de respect stérile mué par la peur et l'admiration. En effet, on avait jamais vue Yann perdre l'un de ses combat. Mieux encore, on ne l'avait jamais vue combattre :A plein potentiel, qu'a de très rares occasions sortir son épée. En fait, il avait l'air de quelqu'un que tout ca énervait, tellement c'était risible, ridicule et facile à accomplir.
Quand à lui, il daignait à peine regarder les autres chasseurs. Alors on ne parlera même pas des Mercenaires... Sinon qu'il les avait en horreur. Pourquoi? Pour la même raison qu'il n'aimait pas la plupart des chasseurs, car chez eux, c'était général. Pour la même raison aussi qu'il n'avait jamais voulu, du temps ou il vivait avec Léa, réellement intégrer l'Élite et était rester Maitre d'Arme à l'institue. Pour des raisons qui seraient bien longue à expliquer, ne le concernait que lui, et qu'il préférait ne pas trop se rappeler. Bref, il éprouvait cependant une même sorte de respect stérile pour Aïzen d'Eïs-Srike et Alec de Tazüko. Il détestait les ordres et ne les suivait que lorsqu'elle venait d'eux.
L'indifférence semblait générale, mais l'attention d'une jeune chasseuse bien différente des autres se posa un jour sur lui. Yuki de Tazüko, la sœur cadette d'Alec, était un jour venu tout bonnement lui demander pourquoi il était malheureux. Vous imaginez très bien qu'il l'avait envoyer valser sur les roses en deux temps trois mouvements, mais rien ne pouvait atteindre cette jeune fille lorsqu'elle avait un but en tête. Ainsi avait débuter leur relation étrange. Souvent, elle venait le rejoindre lorsqu'il s'entrainait. Elle lui parlait, sans lui demander d'en faire autant, et n'avait jamais remis sur le tapis le sujet de sa situation, n'avait jamais poser de question sur son passé ou quoi que ce soit. C'est probablement pour cela qu'il finit par l'apprécier, lui, Chasseur que personne n'arrivait à approcher, à cerner. Mais une autre personne allait, à la veille du deuxième impacte, entrer dans sa vie et l'approcher plus que quiconque depuis les 5 dernières années.
Ce n'était que quelques temps à peine avant la bataille de l'an 56 de la nouvelle ère que son destin croisa par hasard celui d'une jeune femme au regard violet portant le nom de Kathy d'Elebrÿel. Elle non plus ne posa jamais de questions. Elle aussi s'approcha de lui, même d'avantage. Sans qu'il su réellement comment ni pourquoi. Elle le comprenait, dans un certain sens, sans qu'il n'ai à prononcer un mot, et le contraire s'avérait être également vrai. Cette présence, cette compréhension, s'il tenta de la refréner, finit par lui être nécessaire. Encore une fois, l'inverse fut vrai. À quelques reprise, les deux chasseurs s'entrainèrent ensemble ou partie en mission tout les deux. D'autres fois, ils se retrouvaient tout simplement, sans s'être consulté, quelque part dans un lieux isolé où ils restaient jusqu'à ce que la nuit ou l'obligation les ramènent vers le repaire, sans échanger grand mots, à regarder vers l'horizon... Et vers le passé. Tentant de voir l'avenir. Sans succès.
Vint alors la bataille de l'an 56. Bataille durant laquelle Yann en perdit presque la tête. La bataille faisait rage depuis un moment déjà, le sang avait déjà beaucoup couler, mais Yann ne voyait plus rien de ce qui se passait autour de lui. Tout était annihiler, ne restait plus que le souvenir d'une femme qu'il avait aimer plus que tout, une douleur et une rage intense, se mutant en désir de vengeance. Un seul but... Son unique but depuis 5 ans... Où était Kathy? Que faisait-elle? Comment réagissait-elle en le voyant ainsi? Toutes ces questions ne vinrent que plus tard. Bien plus tard après la bataille... Malgré qu'elles auraient du s'imposer à son esprit plus tôt.
After Crisis : Alors que le sang coulait à flot, que les bruits de la bataille emplissait l'air et ne semblait jamais vouloir s'arrêter, il l'aperçut... Lui. Celui qu'il cherchait depuis 5 années. Là-bas, à la tête des siens. Avant, il n'avait pas su à qui il avait affaire. Mais ses recherches effrénée dans les archives du Repaire et de l'institue lui avait confirmé l'identité du tueur de Léa. La femme qui était avec lui lors de l'Attaque l'avait trahi par sa simple présence et par l'appel qu'elle lui avait lancer lors de l'attaque. La jeune femme était espionne et se nommait Kaïllane d'Alkaïma, à la tête de cette Guilde composé d'humains traitres à la nation, comme on les appelait. Et le Shorder avec elle, celui que Yann considérait comme responsable de la mort de Léa, n'était nul autre que son frère, l'illustre capitaine des armées Rebelles Jamie d'Alkaïma en personne. Si l'identité des membres des Rebelles étaient pour la plupart du temps inconnue ou incomplète de la Nation des Hommes, les personnages principaux de ceux-ci étaient loin d'être anonymes. Photos, description, fiche complète accompagnait son dossier, l'un des plus épais de la banque de données. En plus d'être l'un des plus haut gradé, d'Alkaïma avait passé près de 3 ans à l'institue, lorsqu'il était encore jeune, ce qui venait amplifier le dossier.
Il le reconnut du premier coup. Grand de plus de 6 pieds, chevelure blonde et regard d'émeraude... Fort, menaçant, tel que beaucoup s'écartait sur son passage. Menant ses troupes avec une ferveurs incomparable, et ses guerriers, comme puisant leurs forces dans leurs capitaine, fonçant à sa suite sur l'ennemi. Un cris s'éleva de la gorge de Yann, puissant, mais pas assez pour parvenir aux oreilles du capitaine Shorder, trop loin, dans la bataille trop bruyante. Le temps semblait s'être arrêter. Son cœur battant à ses oreilles était la seule chose perceptible par le chasseur roux. Et alors qu'il s'élançait vers son plus grand ennemi, une flamme dangereusement mortelle et folle dansant dans ses yeux, rien au monde n'aurait pu l'arrêter... sinon ce qui allait alors se passer, à cet instant précis.
Le monde se déchira. Le terre trembla, explosa, se fendit. L'air se chargea d'électricité, de peur, de mort. Le ciel devient d'un bleu plus intense que celui que l'on peut imaginer en rêve, puis se changea subitement en un rouge vif tinté de noir. La mort... Ce fut le deuxième impacte.
Ce qui se passa ensuite reste floue à son esprit. Au ralentit, n'entendant les bruit infernal de panique,de cris de douleur et de milliers d'ordres jeter à tord et à travers comme si ils venaient d'un monde lointain, Yann était tombé à genoux, comme la plupart des gens autour de lui, sous la force de l'impacte. Tout n'avait été ensuite que chaos et incertitude. Son esprit, comme frapper de plein fouet par une réalité qui lui était jusqu'alors inconnu mais qu'il n'arrivait pas à saisir en avait même oublier Jamie d'Alkaïma. Cette sensation était la seule de ses préoccupation, comme si elle était la seule chose qui pouvait compter au monde. Toujours à genoux, les bras ballant, la tête penché sur le coté et le regard vitreux, perdu dans le vide, cherchant sa réponse, il lui semblait que les gens qui courraient, criaient ou mourraient autour de lui allaient au ralenti.
Puis alors surgit devant lui un visage qui lui était familier. Un visage qui se détachait tel une tache d'encre sur un grand tissu blanc. Contrastant avec le sang, la saleté, les armes, la mort et la peur qui hurlait partout sur la toile qui l'entourait, le doux visage connu lui sourit, ne semblant pas voir les horreurs qui se passaient autour. Une légèreté et un bien être intense s'empara alors de Yann. Une larme perla même au coin de son œil. Il aurait voulut lever le bras, tendre la main vers ce visage tant souhaiter, tant rêver... Enfin il était là devant lui. Enfin tout cela était terminé. Enfin il la retrouvait. La jeune femme s'approcha de lui, passa une main de vent sur sa joue, et son sourire devint triste. Elle lui fit signe de non avec la tête et recula d'un pas, comme entendant ses pensées. Une pointe de peur s'installa alors dans le cœur du chasseur. Pourquoi disait-elle non?
Et alors, perçant la toile de fond de son instant de vie, une inquiétude et une peur affolé aux fond de ses grands yeux violet, une autre femme parut devant lui. Elle se jeta à genoux devant lui, et lui semblait-il toujours au ralentit, le prit par les épaules et le secoua, criant quelque chose qui devait être son nom, désespérément. Yann tourna lentement son regard vers elle, ne comprenant pas ce qu'elle venait faire là, comment elle avait traversé la toile ou pourquoi elle criait son nom. Puis du coin de l'œil, il vit son doux visage, sa belle jeune femme hocher doucement la tête et se retourner. S'éloigner. De plus en plus, lentement disparaître... Une peur panique grimpa en lui et il retourna son regard vers elle. Non... non... non elle ne pouvait pas s'en aller. Pas encore. Pas une deuxième fois. Il l'avait enfin retrouver. Pourquoi elle s'en allait? Non! Pas déjà! Ne pas la perdre déjà, sans l'avoir effleuré, sans l'avoir sèrer dans ses bras, sans lui avoir dit qu'il l'aimait... Pas déjà, pas maintenant, pas encore. Non! Elle s'en allait, disparaissait, encore... il la perdait...
« LÉA!!! »
Un seul cris unique était parvenu à sortir de sa gorge avant que la vision du chasseur ne se bouille, ne s'efface, et que son esprit ne sombre dans le noir. Dernière image s'imprimant dans cette dernière, les visages superposé d'une jeune femme au doux sourire à demi effacé se retournant pour une dernière fois et le visage d'une autre femme, accablé par l'inquiétude, le visage déformé par l'appel de son propre nom.
Il ne su que plus tard ce qui se produisit par la suite. En réalité, lors de l'impacte, Yann, comme beaucoup d'autre guerriers des deux camps, étaient tombé au sol. Seulement, Yann était tombé sur la lame d'un guerrier Shorder mort au combat quelques instants auparavant. La lame avait transpercer son corps au niveau de abdomen. Il serait mort si Kathy ne l'avait pas retrouvé. S'était elle qui avait appeler à l'aide et l'avait fait transporter au repaire, alors qu'il était inconscient. Elle aussi, qui avait veiller sur lui une fois que les médecins avaient eu terminer leurs traitements. Yann était resté près d'une semaine dans le coma. Mais ce ne fut pas mieux lorsqu'il s'éveilla.
Lorsqu'il ouvrit les yeux pour la première fois, Kathy s'était trouvé à son coté. Il avait sembler sursauter et chercher désespérément quelque chose à l'entour. De la sueurs froide avait perler sur son front et il s'était mit à se débattre. La jeune chasseuse avait alors appeler les médecins qui avait accourut, administrant de peine et de misères un calmant a Yann. Il finit par se calmer, mais dès cet instant, il entra dans une sorte de léthargie impassible, plus sombre qu'il ne l'avait jamais été. Petit à petit, son corps avait reprit du mieux et il avait finit par recommencer à marcher. Il n'avait toujours pas prononcer un mot. Plus tard, il fut d'aplomb pour reprendre l'entrainement et recommencer son travail, et alors, il ne parlait que pour répondre à un ordre ou en cas d'extrême nécessité. S'isolant, tournant le dos à tout le monde. Même Yuki laissa finalement tomber l'idée de lui arracher quelque chose. Et Kathy, elle, continuait à veiller de loin.
Au bout de quelques mois cependant, quelque chose sembla changer légèrement chez lui, ou du moins, avait-il prit quel qu'on que décision. Ce fut un soir d'automne, alors qu'il savait la trouver là, que Yann avait été rejoindre Kathy dans la plaine au nord du repaire des chasseurs, là où ils avaient eu l'habitude d'aller avant. Sans un mot, il s'était assis à son coté. Un moment avait passé, en silence, tout deux regardant vers l'horizon. Puis Yann avait tourné la tête vers elle, puis avait prononcer ces simples paroles.
« Merci. Et...je suis désolé. »
Le silence était revenu, Yann avait baisser la tête et les yeux, ses doigts jouant machinalement avec la baque pendu à la chaine d'argent à son coup, puis il avait redresser la tête et avait de nouveau perdu son regard au loin. Rien de plus n'avait été échangé. À partir de cet instant, les choses rentrèrent sensiblement dans le même ordre qu'elles avaient été avant le deuxième impacte. Seule chose, Yann était parfois plus distant qu'il ne l'avait été auparavant. Partant soudainement dans son esprit et n'en revenait que plusieurs heures plus tard, s'isolant sans rien dire à personne. Mais outre cela, seul l'esprit et le cœur de Yann demeura changé, et ce pour lui même. Kathy fut promue capitaine d'unité près de deux ans après le deuxième impacte, et ce ne fut une surprise pour personne de voir Yann entrer le premier dans sa division. Deux autres chasseurs finirent par suivre le mouvement, quelque temps plus tard, et les missions reprirent. La guerre et la vie, comme si il fallait qu'elles aillent nécessairement de paire, reprirent elles aussi leurs cours.
Pour la deuxième fois, il l'avait perdu. Yann avait été si près de la retrouvé, mais elle s'en était encore aller. Cette nuit là, comme dans l'autre, il aurait du mourir. C'était inlassablement qu'il se l'était répéter durant plusieurs mois, jusqu'à ce que la dernière image de Léa lui revienne plus objectivement ne tête. Elle lui avait dit non... mais non à quoi? Sa première constatation ne l'avait que plus abattue, que plus poussé sur le bord du gouffre, à deux pas de sombrer, de devenir fou et de s'autodétruire. Elle ne voulait pas qu'il la rejoigne. Mais peut-être... s'était-il dit plus tard, qu'elle ne voulait tout simplement pas qu'il meurt. Pourquoi? C'était la seule solution pour qu'ils soient enfin tout les deux réunis... Mais peut-être aussi, savait-elle des choses qu'il ignorait. Peut-être lui restait-il des choses à faire dans ce monde avant de rejoindre l'autre. Vengeance? Non, elle ne lui aurait jamais demander cela. Alors quoi? L'image de Kathy s'était imposer à son esprit, son cœur s'était sèrer. Il aurait voulu hurler, crier, mourir... Maintenant. Oui,mourir... Mais Léa avait voulu qu'il reste en vie. Pourquoi? S'il supposait certaines choses, il ne pouvait les affirmer. Alors maintenant, il allait au moins vivre. Vivre puisque c'était elle qui le lui avait demander. Mais aussi, parce que peut-être, sa vie était rattaché à une autre vie. S'y était affilé sans qu'il s'en rende vraiment compte. Et cette vie, s'il ne sait aujourd'hui pas très bien qu'en penser ou qu'en faire, il allait la protéger. La protéger parce que cette vie, c'était aussi la sienne... LE visage superposé de Léa et de Kathy lui revint souvent en tête, et il tente d'y trouver un sens. Mais désormais, tout ce qu'il sait, c'est que ces deux images, ces deux personnes, ne font plus qu'une. Pourquoi? Comment? Aucune idée. La vie, encore une fois, envoyait Yann vers un destin que seul le temps pourrait permettre de connaitre l'action, mais peut-être jamais le sens...
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Le Joueur Pseudo : Kyo
Quels sont les codes de validation ? : Ok by Aki
Le mot de la fin ? : J'attends la validation d'Ellana pour l'histoire, comme je me suis légèrement laisser aller avec... xD Bref, c'est pas grave si ca ne marche pas, tu n'auras que me dire si tu aime ou pas et je m'occupe du reste!
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En savoir plus | | Sujet: Re: .:Yann de Xäan:. [ Chasseur ] | |
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| | | | | | .:Yann de Xäan:. [ Chasseur ] | |
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