Prénom ( et Nom si vous voulez): Shaar-Lun

Camp : Loreleï

Age : 48ans

Animal (métamorphose > Shorder ou personnage>Loreleï) :Loup noir

Description physique (2 lignes minimum) : Haut sur pattes, il a une carrure imposante. Ses muscles bien développé sous sa dense fourrure noir d’encre démontrent un entraînement intensif et une vie à la dure. Ses yeux sont d’un hypnotisme presque terrifiant. Il y brille un feu qui ne se tarira jamais. Font vivre à travers ceux qu’il regarde, toute sa souffrance et sa rage. Toute les épreuve d’un vie qu’on lui a ravit. Il a aussi de puissante mâchoire munit de crocs d’un blanc ivoire qui, et on le devine, ne doive pas être misent à l’épreuve sous peine de perdre leurs blancheurs pour devenir d’un rouge sang… C’est un combattant. Un guerrier née. Mais il est aussi posé et sage. Car malgré la rage qui brûle en permanence dans ses yeux, il a un cœur tendre et est très attaché au siens.

Caractère (4 lignes minimum) : Un peu sombre et au caractère très prononcé, Shaar-Lun est un vrai maître de guerre. Faisant passer son clan avant lui-même, y dévoue sa vie, feras tout ce qu’il peu pour son salut. Un feu ardent brûle cependant dans ses yeux. D’une rage et d’un mal sans nom. Tout cela envers les hommes… Il n’a pas froid au yeux et son caractère est très définit. Au risque de paraître froid, il est autoritaire et très terre à terre. Son aura en tien plus d’un a distance. Son caractère un peu hargneux aussi… Mais son cœur est très grand. Il est attacher à chacun des membres de son clan comme s’ils faisaient partie de lui. Et il ne veut que leurs bonheur et leurs survie. C’est donc ainsi, qu’a un moment, son regard embrasé fixe droit devant lui, avancent de son pas fort et imposant, les oreilles rabattu en arrière, une aura sauvage planant autour de lui, et qu’a l’instant d’après, croisant un jeune membre du clan qui venais de trébucher, aussi doux qu’une mère, un sourire réconfortant au lèvres et ses yeux brillant d’une étincelle si lumineuse que l’on croirait celle de la rage disparut. Tout dépendamment des situation, il peut toutefois se montrer impatient et même strict. Mais, et encor là, d’après la situation, être doux, souriant et aimant même rire. Mais dans ces moments, parfois une note de nostalgie et de tristesse prend son regard. Dans ses moments, il s’isole. Solitaire et sombre. Mystérieux. Plongé dans le flot de souvenir d’une vie aujourd’hui révolu. Autrement, il est en tout temps aux aguets, énergique, prêt au combat, vif et un brin sauvage. Un caractère bien spécial… Mais un être tout aussi spécial.

Histoire (5 lignes minimum) : C’était il y a longtemps… De la neige tombait ce jour là. Jamais je n’avait vu plus belle chose au monde. J’avais été dépêcher par ma meute pour aller en reconnaissance au nord de nos terre. C’est là que je l’ai trouver. Couché, le nez entre ses fines pattes blanche. Gelé dans le froid. Sur le coup, j’en eu le souffle coupé. Me croyant devant une vision. Et même encor aujourd’hui, je ne pourrait dire combien de temps je resta là a la regarder. Mais là n’est pas la question. Lorsque je reprit mes esprits, je comprit qu’aussi belle et, a mes yeux, inoffensive qu’elle était, elle n’avait rien a faire sur nos terres. C’était une intrus. Mais par delà cela, je remarqua que l’illusion que j’avais eu, qu’elle ne faisait plus qu’un avec la neige, n’était pas fausse. Elle n’était pas juste assoupie. Elle était inconsciente. En m’approchant, je vit également qu’elle était d’une maigreur a faire peur, et qu’elle portait une blessure d’ont je ne pouvait mesuré la gravité, a son flanc gauche. A ce moment, une seul chose était sur dans ma tête. Il fallait que je la sauve. La sorte d’ici. La ramener au camp. Tout me semblait secondaire. Seul comptait cette jeune et mystérieuse louve blesser et inconsciente a mes pied. C’est donc ainsi que la belle de neige fut ramener par moi dans mon camp. Cela causa plusieurs controverse. Mais qui qu’onques osait dire quoi que se soit sur elle manquait de peu que je l’égorge moi-même je doit dire… Et je n’était pas le moins fort des guerriers, je le dit sans prétention… Et c’est, je le croit, cloua le bec de plusieurs d’entre eux. Quoi qu’il en soit, rien ne pouvait m’empêché de la soigner au sein même du clan. Je veilla sur elle nuit et jour. Ayant parfois même de la difficulté a décrocher mon regard de son visage calme de ceux qui ne sont plus dans le même monde que le nôtre. Ma mère, une louve a la fourrure d’un beau fauve sombre, veillait sur elle avec moi. Elle s’y connaissait bien mieux que moi en médecine. Ce n’était pas tellement difficile je doit dire, car je n’y connaissait pratiquement rien. C’est donc elle qui m’apprit que la belle blanche avait perdu tellement de sang par sa blessure que c’était ce qui causait son coma prolongé. De plus, cette même blessure c’était infecté. Mais rien d’inquiétant m’avait-elle dit. Le temps ferais les choses. Mais elle s’en sortirait. J’avais espoir. Et depuis que je l’avait vue, jamais je ne m’était senti aussi vivant. J’avais peine à ne plus a voir. Mais je devait jouer mon rôle au sein du clan. La laissant donc au soin de ma mère qui, du son age avancé restait au camp, je partait remplir mes obligation. Revenant chaque soir au bercail, et la retrouvant enfin. Ce sentiment étrange que j’éprouvait m’effrayait souvent. Qu’es qu’il m’arrivait? Pourquoi sans jamais avoir entendu sa voix, vu son regard… je pouvait ne plus me passer de sa présence? Enfin. Je n’en parla pas. Gardant sous silence toutes ses questions sans réponse ou s’ajoutait « Qui était-elle? », « D’où venait-elle », « qui avait été assez cruel pour lui infliger pareille blessure? »… Mais bon. C’est ainsi qu’un soir plus frais, alors que le soleil déclinait par delà la cime des arbres, que je revint au camp. J’avait été attitré a la patrouille ce jour là, je rentrait donc un peu après tout le monde. Le camp était calme. Les unité de jour se préparait à un sommeille bien mériter. Tandis que les unités de nuit se préparait silencieusement a leurs tours. Le camp était placer au flanc d’une montagne, se situant sur plusieurs plateau rocailleux ou s’était formé plusieurs petite cavernes qui nous servait d’abri contre les caprices de la nature. Je sauta donc les quelque paliers qui me séparait de notre tanière, et c’est en contournant un gros rochers juste avant d’arrivé que je l’aperçut. Pire que la première fois, j’en fut pétrifier. Je n’avait plus le contrôle de mes pattes. Immobile, je ne pouvait décrocher mon regard d’elle. Et cette fois, elle me regardait aussi. Assise près de l’embouchure de la caverne, elle regardait d’abord au loin. La douce brise froide jouant dans ses long et fins poils d’un blanc immaculé. Puis elle avait tourné son regard noisette sombre si doux vers moi. Elle était belle. Plus que belle. D’une grâce sauvage et d’une douceur presque fougueuse. Je ne pourrait pas dire si elle resta pétrifier comme moi. Mais n’empêche qu’elle resta immobile, le regard encrée dans le mien, comme si elle le possédait, et c’était bien le cas, un ai quelque peu indéchiffrable dans le visage. Interrogation, appréhension et quelque chose d’autre d’ont je ne peut pas vraiment mettre e nom dessus. Le charme fut brisé lorsque ma mère sortit de la taniÈre. Elle m’aperçut et lanca un regard a la blanche. Un sourire béat s’étira sur son visage. La louve de neige détourna alors le regard et la tête. Regardant sans vraiment le voir le sol sous elle. Et moi, moi et bien je me souvint qu’il fallait respirer pour rester en vie! Je me sentit étrangement idiot. Prit d’une gène, ce qu’il ne m’était pas arriver bien des fois au court de ma vie, je ne savait plus trop ou me mettre ni quoi faire. Ma mère le comprit, et je lui en serais sûrement toujours reconnaissant, prit la parole.

« Shaar-Lun! Tu es rentré, enfin! Regarde qui c’est réveiller! »

Je lui sourit et regarda la louve qui avait relever les yeux vers moi.

« Comment vous sentez vous? »

C’était sincèrement tout ce que je trouva d’intelligent a dire! Elle me sourit. Et encor aujourd’hui, ce sourire est graver en moi comme s’il venait d’être fait. J’entendit alors sa voix pour la première fois :

« Mieux, beaucoup mieux. Votre mère m’a dit ce que vous avec fait pour moi, je vous en suis éternellement reconnaissante. »

Si j’airait pu rougir, j’aurais été écarlate! Mais a la place, un sourire béat et sincère vint trôner sur mon visage. Mes yeux pétillant comme je ne les aurais jamais cru capable.

« Tout le plaisir est pour moi. Mais heu… Comment vous appeler vous? »

« Keïra, je m’appel Keïra… »

Ce nom est celui de celle qui changea ma vie. Je ne cessa de l’aimer depuis ce jour. Et je croit que je l’aimais bien avant… Nous étions devenu inséparable. Et elle gagna rapidement sa place au sein du clan. Elle connaissait mieux les remèdes et le secret des plantes que qui qu’onques. Son clan a elle, vivant plus a l’ouest, avait été ravager par les hommes. Elle ne savait pas pourquoi. Et avait été, de son su, la seul a s’en réchapper. Je pouvait lire une tristesse immense dans son regard lorsqu’elle évoquait sa vie d’avant. J’évitait donc le plus possible de lui en parler. Je voulais qu’elle sourisse, qu’elle rit et qu’elle soit heureuse. Je voulait son bonheur et sa sécurité plus que tout au monde. Je l’aimais… Plus que ma vie, plus que ma mort. Et le destin semblait nous sourire a tout les deux. Car durant près d’un ans, nous vécûmes un bonheur que je n’avais cru possible de vivre. Et notre bonheur s’intensifia encor, lorsqu’un printemps, Keïra mit au monde deux louveteau. L’un blanc neige comme sa mère. Et l’autre, noir sombre, comme moi. Je ne pouvait en demander plus. Tout était parfait… parfait…Mais il fallut que je soit absent ce jour là. Nommé lieutenant, je devait m’absenter un peu plus souvent. Mais ni elle ni nos petits ne s’en plaignait. La nuit était déjà tombé, et j’avais passé toute la journée a patrouiller sur les terres avec quelque uns des guerriers. J’avais hâte de rentrer, de retrouver ma petites famille dans ma tanière… Nous approchions du camp. Le premier signe qui me fit dresser l’échine fut l’absence de bruit. Je fronça les sourcils, même a cet heure, a cette distance on aurais du entendre les bruit du camp qui ne dormait pratiquement jamais. Mais non. Je hâta le pas. Puis le vent changea de direction. Et la je bondit en avant. Le vent nous avait apporté une odeur bien particulière. Que je connaissait très bien. Et qu’y n’aurais jamais du être là. Celle du sang, du sang frais. Je courut plus vite que je n’avait jamais courut. Sentant le vent fouetter mon visage sans que je n’en tienne compte. Je n’entendait plus rien. Que le sang qui battait dans mes oreilles. Et que mon sang qui se glaçait dans mes veines. Je crut que mon cœur cessa de battre, une peur irrépressible me tordant le ventre, lorsque j’arriva fa au versant, émergent de la dense forêt. Le camp n’était plus que ruine. A cendre et a sang. Tous avait été mutilé. Saigner comme des porc. Abattue sans état d’âme, sans scrupule. Chacun. Un cris désespérer et de douleur s’échappa de ma gorge.

« KEÏRA!!! »

Je courut encor, jusqu’a ma tanière. Ne tenant pas compte des rochers effilé qui me lacérait les pattes et les flanc. J’enjambait les décombres, les corps… M’enfargeant dans l’obscurité, prit d’une peur et d’un affolement incroyable. Seul but, retrouver Keïra et nos deux petits. Ils ne pouvait être… Non. Ils ne pouvaient pas. Pas eux! Un cris de rage monta dans ma gorge mais je me retins. Je n’était plus calme, du tout. Mais j’était lucide. Prit d’une rage et d’une peur folle. Lorsque enfin j’arriva au palier qui était le notre. Devant l’entrée, enroulé au tour de deux petites boules de poils, comme pour les protéger, ma belle de neige était étendu, dos a moi. Baignant dans son propre sang. Dans la tanière, du coin de l’œil, je distingua le corps sans vie de ma mère. Mais mon regard ne s’y attarda pas. J’était pétrifier de terreur, d’horreur. Je tomba a genoux juste a coté d’elle. Affolé. Ne sachant plus quoi faire.

« Keïra… Keïra, ça va aller… je vais… je vais… »

En fait, je n’avait aucune idée de ce que j’allait faire. Du moins pour l’instant. Mais je devait dire quelque chose! Je devait faire quelque chose! Ce n’était pas possible… C’est alors qu’elle bougea. Glissant sa tête contre le sol nimbé de liquide rouge. Tournant sa tête vers moi. Puis planta son regard doux dans le mien. Son regard fut comme réconforté de me voir. Mais il était troublé. Et légèrement brouiller.

« Shaar-Lun… Tu est là. Tu… tu est là… »

Je m’empressa de lui répondre, désemparé. Elle était plus que troublé. Sa voix étai lointaine et douce. Calme même. Faible surtout…

« Oui, oui, je suis là, ça va aller maintenant. »

Elle ferma les yeux.

« Ils… ils sont revenu… ils étaient là… encor. »

« Qui? Qui a pu faire ça? »

« Shaar-Lun… Shaar-Lun il ne faut pas qu’ils fasse… qu’il le refasse… Ils… Ils nous on eu, nous. Mais il ne faut pas qu’il sen ai d’autre… »

« Non, non ça va aller. On va… on va vous sortir d’ici. Et tout va bien aller… »

Elle m’interrompit en secouant la tête et en rouvrant les yeux.

« Non Shaar-Lun… Ils ont eu le clan… ils ont eu nos petits… ils m’ont eu moi… »

Des larmes de peine et de rage me montèrent au yeux. Elle continua :

« Mais toi, toi ils ne t’on pas eu… Il faut que tu les empêche. Ils ne doivent plus faire souffrir… Les hommes ne doivent pas nous empêcher d’être qui on est… »

Son regard devint plus vitreux, sa voix plus faible. Je su a cet instant, morbide et atroce constatation, qu’elle ne survivrais pas. Et je su quel serais désormais mon but. Je dit alors tout ce qui pouvait être dit en ces circonstance. Tout ce qui méritait qu’on le dise.

« Je te le promet. Je t’aime. »

« Je t’aime aussi… »

Plus jamais elle ne parla. Car a ses mots elle rendit son dernier souffle. Je poussa un cris. Un cris qui renfermait toutes ma rage, ma colère, ma peine, ma perte… Puis me coucha près de son corps sans vie, ainsi que celui de nos deux petit, aujourd’hui trépasser… Les entourant. Les protègent. Je ne sais pas combien de temps je resta là. Mais ce fut sûrement long. Quand enfin je me leva, j’était allumé d’une détermination et d’une aura noir qui ne m’a pas encor quitter aujourd’hui. Je n’ai plus qu’un but. Empêcher les hommes de refaire leurs carnage a d’autre. Les arrêter. C’est dès ce moment là que j’entra en guerre. Et que je rejoint les Loreleï… Y dévouant mon cœur, et mon âme. Puisqu’ils m’en avait volé une partie…

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Besoin d'une signature ? (photo à fournir) :Nan ça va, elle s'en vien! Faut dire qu'avec l'inspi que j'avais pour l'histoire... j'ai pas trop eu le temp pour autre chose xD

Codes : Ok

Autre : Bravo ma niwi, c’est n’Aki! Super le forum!!!!!!

Ok d'acc ! Super histoire ... t'as vraiment du talent ! Sinon les codes sont bons.. On se fait un susu ?

Pour sur!
Et merci^^ J'adore écrire!