Eternal Ground
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Une guerre entre l'homme et l'animal dans un monde déchu où seule la loi du sang a sa part à jouer...
 
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 - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption

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AuteurMessage
Shaar-Lun the BlackWolf
Shaar-Lun the BlackWolf



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MessageSujet: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeLun 28 Sep - 5:21
Ayden d’Ezilea

Carte d'identité
    Nom: d’Ezilea
    Prénom(s) : Ayden
    Je me nomme Ayden d'Ezilea. Je porte le nom de ma mère, ce qui est en soit plutôt rare, le fait est que j'ignore l'identité de mon père. Mon prénom, c'est ma mère qui l'a choisi. Même avant ma naissance, elle comptait déjà appeler son premier fils ainsi. Savait-elle alors qu'il serait son unique enfant? Surement pas... Ma mère rêvait d'une grande famille, mais la misère, la guerre et les épreuves que la vie mirent sur son chemin l'en empêchèrent. Je porte son nom avec fierté, même s'il n'apporte ni gloire ni reconnaissance.

Age : 25 ans
Que dire sur mon âge...? Car en fait, je ne crois pas que l'âge fasse quelqu'un. Certaines personnes vivent plus de tragédie avant d'avoir atteint la vingtaine que ceux qui vivent jusqu'à cent ans. Alors je ne crois pas que l'on puisse vraiment dire quoi que ce soit pour qualifier quelqu'un sur son âge.
Date et lieu de naissance : 15/06/36, institut scientifique d'Osiria Corporation
Camp : Les Rebelles
Bien que j'eus connu ma vrai famille, composée uniquement de ma mère, la Guilde emplie pour moi la place laissé par le vide d'une famille que la guerre a emporté. La voie de la guilde est la mienne, je le sens au plus profond de mon être, et je ne pourrais être autre chose. Et même si je mourrais pour cette guilde, il n'y à qu'une seule chose au monde à laquelle je tienne plus que cela. Pour être précis, une seule personne...
Rang : espion - Capitaine de la Division de la Forêt de Lorelei
Certains disent que dès mon entré dans la guilde, on savait que j'irais loin. Pour ma part, bien que je sais y avoir trouvé ma voie, je ne crois pas que ce qui m'a mener où je suis aujourd'hui soit simplement du au destin. J'ai trimé dur, je me suis entrainé chaque jour que la vie m'emmenait, et m'entraine toujours. Je ne prends rien pour acquis... pas même le poste que j'occupe. Ceci est une responsabilité, une tache que je ne peux prendre à la légère, et que je porte également avec fierté.
Niveau d'activité du gène "S" : 0
Race : humain
J'ai hérité de la race de mes parents, et ne crois pas être le descendant de quelconque gène S. Et même si ceux de ma race font des choses pour lesquelles j'aurais toute les raison d'avoir honte, je suis tout de même fière de ce que je suis, car c'est tout ce que j'ai a offrir. Chaque homme est différent, et je ne suis pas comme eux. Ne vous méprenez pas.


description
    Description physique : Pour être franc, mon physique n'a rien de plus exceptionnel qu'un autre, sinon ma cicatrice au visage et quelques tatouages qui me démarque de la masse. Sur le coté droit de mon visage, de l'œil jusqu'a ma gorge, s'étendent trois marques, trois cicatrices. Causées par trois lames aussi tranchantes que le meilleur des sabres puisse être aiguisé, elles ne cicatriseront jamais. Elles me suivront toujours, telle une étrange marque ramenant toujours ce qui semblait disparaitre dans l'ombre à la surface. Une autre, également, fend mon visage à l'horizontal. De l'extrême gauche de mon visage, elle s'étire jusqu'au coté droit de mon nez. Elle est plus récente, et un bandage noir la cache encore. À vrai dire, je garderais probablement toujours ce bandage. Car ce qui m'a causé cette blessure n'était pas la lame effilée, capable de couper une feuille de papier en la laissant tomber dessus, qui me fit les trois autres... À chacune leurs histoire, à chacune leur passé...
    En ce qui concerne mes cheveux, je les garde assez court et... pour la plupart du temps, désordonnés. Je n'ai jamais été superficiel, au risque de passer pour négligé. Ils sont entièrement noirs, et contrastent avec le bleu sombre de mes yeux. Ce bleu n'a rien d'exceptionnel, et d'ailleurs passe pour la plupart du temps inaperçu. Mais il est rare d'y voir autre chose qu'un sourire.
    Mes tatouages, quand à eux, définissent la Guilde pour laquelle je donne ma vie aujourd'hui. Tout espion porte un ou plusieurs tatouages différents pour chacun, le définissant, lui, ainsi que démontrant son appartenance à la Guilde. Kaïllane à une sorte de flamme sur l'épaule, Yoroyshi, une fleur spéciale sur la hanche... Quand à moi, deux bracelets noirs entourent mes bras, et un mon cou. Un nombre est également tatoué sur ma joue. Celui-ci, je donnerais n’importe quoi pour le faire disparaitre. Ce sont les scientifiques, après m'avoir enfermé au centre, qui ont imprimé ce chiffre sur ma joue. Pour me classer. Pour démontrer que je ne valais pas mieux qu'un objet. Que l'un parmi une série qui subirait une expérience qui a été fatale pour la plupart d'entre eux. Pour tous en fait, sauf moi. Moi seul aie survécu. Moi seul ai pu m'échapper avant de subir le même sort. L'avant dernier d'une série de 70 victimes humaines et Shorder. D'un massacre...
    signature:

    Caractère : J'ai toujours eu de la difficulté à me décrire, en fait. Je ne me trouve pas plus exceptionnel qu'un autre, loin de là. Et en fait, je ferais n’importe quoi pour ceux qui m'entoure. Devant les autres, j'ai toujours le moral. J'ai toujours eu le sourire et le rire facile, tout autant que la parole, ce qui a toujours attiré les autres vers moi. D’accord, d’accord, quand je parle, ca peut être exaspérant! Mais bon, je ne le fais pas exprès. Par contre, je sais malgré tout écouter. Je ne dis pas comprendre tout ce que les autres vivent. Parfois, cela dépasse mon entendement. Comme ma situation pour certains, beaucoup même. Mais je sais une chose, c'est que souffrir, peu importe la raison, n'est pas pire et moindre qu'une autre souffrance. Et c'est pour cela que j'écoute, même si je ne peux pas toujours comprendre.
    Tête brulée, quand je tiens à mon idée, il est rare que l'on puisse me faire changer d'avis. Un peu imbécile sur les bords, je n'ai trouvé d'égal que Zack à ce jour! Mais je suis loin d'être l'écervelé au perpétuel sourire que les gens peuvent penser voir. En fait, j'ai peine à le dire, mais je ressemble peut-être plus à ce que mon apparence laisse entendre. Sombre et sérieux. Un guerrier aguerri. Cette facette de moi remonte aussitôt qu'une mission est mise entre mes mains. À chaque fois que le sort des miens est en jeu. À chaque fois que cette incompétence et faiblesse en moi refait surface... Je ne suis pas aussi fort que j'en ai l'air, et ça, ça a le don de m'énerver...Je voudrais tant enrayer cette faiblesse que je tente de cacher. Ainsi, je serais peut-être plus utile à tous. Beaucoup vous diront le contraire, à commencer par elle... Me je ne peux me résoudre à accepter cela pour moi même. Allez savoir pourquoi...
    Comme je l'ai dit plus tôt, je ferais n’importe quoi pour les gens autour de moi, mes proches, mon clan, ma Guilde... Ils sont tout ce que j'ai. En perdre ne serait-ce qu'une infime partie m'enlèverait une partie de moi avec. Je préfère donc encaisser les coups tout de suite, et éviter que les autres en souffrent. Ce n'est peut-être et surement pas la meilleure chose à faire, que tout prendre sur mon dos. Mais c'est la seule chose que j'ai trouvé pour servir à quelque chose. La seule chose que j'ai trouvé pour exister. Et la seule chose que j'ai trouvé pour l'aider... elle...
    Si parfois, les chosent se perdent. D'une quelconque façon. S'effaçant du temps, du monde ou de la mémoire. Il en reste toujours une part quelque part. Ces parts, j'en tiens plusieurs au creux de mes mains. Contenant des vérités, des faits, des douleurs et des paroles que je suis le seul à connaitre. Ces choses pourraient la blesser, jusqu’à un point de non retour. Mais la garder dans l'ignorance, sous son regard incompréhensible qui pourtant me fait confiance, me tue un peu plus chaque jour. Mais il vaut mieux moi qu'elle... Il vaut mieux que je souffre en portant son fardeau à elle, plutôt que de la voir détruite par un choix que j'aurais fait. Ce n'est peut-être pas le bon, mais c'est mon choix. J'en assume chacune des conséquences...

    Manies & Tics : Le coin de ma lèvre à une légère tendance à me trahir lorsque je tente de maitrisé une trop grande émotion... En fait, sous l'effet de la colère, cette dernière tique sans que j'en ai le moindre contrôle. J'ai également un peu trop tendance à m'enfoncer dans ma tête, donc... à partir dans la lune. On m'a reproché de trop penser, mais est-ce vraiment un tord?
    Autre chose aussi... comme une chanson ou un air me trotte pour la plupart du temps en permanence dans la tête, lorsque je suis seul, il m'arrive d’en fredonner l'air, même à mon insu. Ca fait pas très crédible, hein? C'est ce que je me disais également...
    Passions : Sincèrement, je ne sais pas trop par où débuter ou de quoi parler. Si j'adore les entrainements, je ne pourrais pas décrire le combat comme une passion... Je dédaigne trop à porter la main sur quelqu'un pour cela. Et sinon, chaque petit plaisir de la vie, chaque sourire me sont suffisant. Quand à décrire quelque chose comme une passion, mon entourage vous dirons surement rire et faire rire, en ajoutant surement quelques commentaire sur ma tendance à parler un peu beaucoup... Je ne pourrais pas en démentir!
    Peu le savent, mais j'adore la musique. Quelle qu'elle soit. Je vis souvent à travers une chanson les émotions qui vibrent en moi, que je n'arrive pas à cerner ou contrôler. D'où mon tic de fredonner lorsque je suis seul... Car bien sûr, je déteste ma voix!
    D'un autre coté, si l'on puisse considérer cela comme une passion, chaque chose que je puisse faire en sa compagnie, à elle, est la plus grande de toutes. Et puisque regarder les étoiles compte pour elle plus que bien des choses, alors cette passion l'est aussi pour moi.
    Autres particularités : • Famille » Ma mère se nommait Leithia. Elle n'a jamais évoqué le nom où l'existence de mon père. Je sentais que le sujet était difficile pour elle, alors je n'ai jamais insisté. À sa mort, elle emporta le secret dans sa tombe. Je sais seulement qu'il n'est pas mort. Mais alors, qu'est-ce que cela changerait de connaitre l'identité d'un homme que je ne pourrait que détester de nous avoir abandonné à la misère ?
    • Rêve » Si peu en sont certain, beaucoup s'en doutent sûrement. Mais je me dois de le cacher. Pour elle. Pour pouvoir continuer de la protéger. Pour que ce que je sais ne puisse la blesser. Et pour ce que je suis ne puisse la détruire. Vous ne comprendrez certainement pas tout. Vous n'en saisirez peut-être pas non plus le sens... Mais en fait, cela n'a pas d'importance. Ce qui compte, c'est le résultat. Les choses sont parfois trop diffuses et complexes pour en comprendre tout le sens. Je m'y perds parfois. Souvent. Tout le temps. En totale contradiction avec mon esprit. Tentant vainement d'étouffer derrière un perpétuel sourire et une totale dévotion une blessure, un côté noirci, assombri, qui me torture depuis trop longtemps. Mais tout cela, je le fait pour elle. Ne sait-elle donc pas qu'elle n'a rien à me prouver? Qu'elle fait déjà tant pour moi? Ou que je sacrifierai ma vie, renversant ciel et terre, pour simplement revoir une autre fois son regard? Non, et c'est mieux ainsi. Peut-être. Surement... Ce que je suis la blesserait. Ce que je sais également. Ce qui adviendra le fera. Alors ces mots que je voudrais tant lui crier continueront longtemps à faire écho dans ma tête, mon regard posé sur elle, jusqu'a ce qu'enfin son mal s'éteigne.
    • Arme » Bien que j'ai appris à manier plus d'une dizaine d'arme durant mon entrainement au sein de la guilde, on ne me verra pas souvent combattre avec autre chose que mon sabre. Fin, à la lame fine et tranchante, il est rarement ailleurs que retenu à ma hanche par un fourreau aux couleurs sombres.
    Je me bats également plus souvent au corps à corps. Je m'entraine pratiquement tous les jours avec Maïwen, et comme elle le dirait si bien " Je ne prend pas ma force ou mon talent pour acquis, il ne sera jamais assez suffisant ". Alors n'allez pas croire que je suis invincible, même si je crois pouvoir affirmer être un combattant confirmé. La modestie n'a sa place que lorsque l'on est capable de reconnaitre ses force.


Biographie
    Histoire : La Zone Industrielle, an 36 - 41 de la Nouvelle Ère

    Été de l'an 36 de la nouvelle ère, pour être précis, le 15 juin de cette année, dans ce qu'on appelait autrefois la nurserie du centre scientifique d'Osiria Corporation, une femme de 19 ans du nom de Leithia d'Ezilea mit un enfant au monde. Cet enfant, c'est moi. Ayden d'Ezilea. Ce nom me vient de ma mère, elle l'avait choisi bien avant ma naissance pour son premier fils. Et puisque je n'ai jamais connu mon père, je pris également le nom de famille de ma mère. En fait, je connais peu de choses sur le commencement de ma vie. Je sais seulement que je suis né au centre d'Osiria Corporation, là où ma mère travaillait, avant...
    Les premiers souvenirs cohérents que j'ai ne sont pourtant pas du laboratoire de recherche de renom où j'ai vu le jour, mais bien d'un petit appartement pauvrement meublé, aux murs fendus et aux carreaux brisés de la Zone Industrielle. Ma mère craignait de sortir de l'appartement ou de trop s'éloigner de l'immeuble où nous logions au 4e étage. Donc... les souvenirs que j'ai de mon enfance se passent là-bas. À l'époque, je ne comprenais pas pourquoi elle ne voulait pas que je m'éloigne ou que l'on sorte trop souvent. Je ne comprenais pas, et je ne me posais pas réellement la question. C'était mon monde, tout ce que j’avais connu dans ma vie, et c'était très bien ainsi. J'étais heureux, j'avais ma mère, c'était tout ce qui comptait. La pauvreté dans laquelle nous vivions était normale pour moi. Pas une fois je me suis plains de la faim ou du froid. Tout ça... c'était normal. Et ma mère faisait toujours tout pour améliorer mon sort, au détriment du sien.
    Par les plus froides et durs nuits d'hiver, elle me prenait dans ses bras pour me réchauffer, me souriait de son sourire toujours aussi chaleureux, et me comptait les histoires de l'ancien monde, comme du nouveau, les histoires fabuleuse de ces êtres appelé Shorders, les contes et légendes d'un avenir qu'elle me dessinait toujours ensoleillé. Je ne l'avais jamais vu pleuré. Je ne l'avait jamais vu triste ou découragée. Jamais sans sourire. Ça c'était ma mère. Malgré la misère, malgré la guerre, malgré les malheurs que la vie lui avaient fait enduré, malgré la douleur et la peine, elle souriait. Et pour cela, elle est et sera toujours la personne la plus forte qu'il m'ait été donné de connaitre.
    Ma mère avait travaillé plusieurs années pour Osiria Corporation. Si je le sus plus tard, je n'en sus pas d'avantage. J’appris également, bien plus tard cependant, que si ma mère ne travaillait plus pour l'institut, et qu'elle devait vivre cachée dans les quartiers pauvres de Nakasuma, c'était à cause d'un acte qu'elle avait posé. Un acte qui faisait désormais apparaitre son nom au sommet de la liste de ceux que l'on nomme les Mercenaires. Ma mère, Leitiha, avait aidé les Shorders sélectionnés pour une expérience classée de haute importance à s'échapper. En fait, elle avait planifié son coup, aidant deux Espions de la Guilde à pénétrer dans le bâtiment. Et avec l'aide de ma mère, ils purent libérer les Shorders captifs, assurément condamnés à mort. Vous imaginez ce qui s'en suivit...
    Pourtant, nous réussîmes à vivre dans une paix relative durant 3 ans et demi. C'est l'hiver de l'an 41 de la nouvelle ère, alors que j'étais âgé de 5 ans, que ce qui devait arriver se produisit. Le passé, d'une quelconque manière, finit toujours par vous rattraper dit-on...

    C'était la première neige de l'hiver, et ma mère m'avait permis de sortir jouer dans la cour. Je m’étais précipité à grands cris de joie dans les escaliers, les dévalant en riant. J'étais le petit garçon le plus heureux du monde. Je m'en souviens encor avec une précision étonnante. Avec raison, malheureusement. J'avais émergé à l'extérieur en levant les bras au ciel, regardant les milliers de petits flocons tombant doucement, pareils à des milliers de cristaux douveteux réfléchissant la lumière du soleil. C'était durant la journée, et plusieurs personnes marchaient dans la rue, pour la plupart au ralenti, un léger sourire aux lèvres, regardant comme moi les flocons de neige tomber doucement du ciel. Un jeune couple se tenant par la main tourna la tête vers moi avec un sourire attendri. Un vieil homme assis à l'abri d'un porche d'un restaurant abandonné souriait dans l'ombre de sa barbe et de ses vieux haillons.
    Je continuais à jouer seul, comme j'en avais l'habitude, à peine conscient du monde autour de moi, lorsque le silence dans la rue me ramena à la réalité. Fronçant les sourcils, j'avais regardé dans la rue. Il n'y avait plus de passants, sinon ceux qui s'éloignaient d'un pas rapide et nerveux, la tête basse, avant de disparaitre dans une rue voisine. Le vieil homme me regarda un instant, insistant, sans que je comprenne pourquoi, puis disparu dans sa ruelle. Je ne comprenais pas, et je commençais à m'inquiéter. La peur fit son apparition lorsque je vis les deux silhouettes sombres s'avancer sans un bruit, d'une démarche presque féline, à l'autre extrémité de la rue. Il se dégageait d'eux, même à cette distance, quelque chose de si sombre, si dangereux, qu'ils me firent plus frissonner que la neige et le vent glacial. Debout au milieu de ma cour, je les regardai s'avancer, leurs visages impassible et leurs yeux cachés dans l'ombre, pétrifié et terrifié. Puis la peur l'emporta et je laissais tomber la boule de neige que je tenais dans mes mains. Tournant les talons, je m'étais précipité dans l'immeuble, j’avais avalé les escaliers, et j’étais entré en trombe dans notre appartement.
    Je me souviens encor du visage de ma mère, en train de préparer un maigre souper, se relever vers moi avec un sourire, puis son expression changée en découvrant la mienne. C'était comme si elle avait compris avant moi ce qui se passait, et avec horreur. À peine eut-elle le temps d'ouvrir la bouche qu'il était trop tard. La porte sur laquelle j’étais adossé, essoufflé et le cœur battant, s'ouvrit avec fracas, me projetant comme une poupée de chiffon sur le mur d'en face. La dernière image cohérente que j'ai eu avant que je ne perde connaissance, fut celle des deux hommes vêtus de noir que j'avais vu dans la rue, sur le pas de la porte de notre appartement. Leur aura froide. Leurs regards sombres. Leurs armes...
    Ce fut la dernière fois que je vis l'appartement où j'ai vécu les premières années de ma vie.

    Centre R.G.S.O. Scientifique d'Osiria Corporation, an 41 - 45 de la Nouvelle Ère

    Comme chaque matin depuis 5 ans, je me réveillait dans ma cellule blanche, un étrange gout de métal froid dans la bouche. Notre cellule était différente des autres. Je l'avais compris lors de ma première année au centre. Si les cellules ordinaires de l'institue, selon ce que ma mère m'avait décrite, étaient individuelle et fermé au reste du monde, la notre était construite un peu différemment. Nous avions chacun notre cellule, sans possibilité de rentrer physiquement en contacte avec les autres. Il y en avait 70 au total. Seulement, les murs étaient faits en verre blindé et nous permettaient d'avoir une vue d'ensemble sur la salle d'emprisonnement dans laquelle nous nous trouvions. Cette salle était immense et de forme circulaire. Les cellules se trouvaient contre les murs, partout autour, à l'exception de l'endroit où l'unique porte donnait accès à l'extérieur. À l'opposé, il y avait une immense fenêtre, situé plusieurs mètres dans les airs non loin de l'extrémité du très haut plafond, qui donnait sur le centre d'observation des scientifiques. Au centre de la pièce, c'était vide. On perdait la notion de jour et de nuits dans cet endroit continuellement blanc, illuminé, sans fenêtre sur l'extérieur. On en perdait même le fils des jours. C'était complètement irréel. Dans cet univers clos, nous n'étions pas violenter, seulement observer. Ainsi, à part du monde, nous avions finit par nous y habituer et la peur à s'envoler. Même si tout n'était qu'illusion.

    Lorsque j'étais arrivé, nous n'étions que 6 au total, éparpiller dans les différentes cellules. Puis au fil du temps, les Mercenaires chargé de notre surveillance et de nos transfert emmenèrent d'autre prisonnier. La particularité que nous avions tous en commun était que nous étions tous humains. Jamais je ne vit un Shorder entrer dans notre lieu clos et silencieux. D'ailleurs, je ne vit jamais quelqu'un en ressortir... J'appris, lors de différentes expériences de groupe ou lors des moments où les gardes nous laissaient nous dégourdir les jambes en groupe dans l'espace centrale, au milieux de nos cellules, que tous étaient considérer comme traître à la Nation. Ils étaient Espions ou rebelles humains, avaient caché ou aider des Shorders à se cacher où à s'évader, étaient d'ancien scientifiques s'étant rebeller contre Osiria Corporation... Moi, qu'avais-je fait? J'étais le fils d'une traître de premier ordre. D'ailleurs, ma mère, je ne la revit jamais.
    La première année de mon incarcération, je fut souvent la cible d'expérience observatoires. Ils montèrent mon dossier de font en comble. L'année suivante ainsi que l'autre après, ils débutèrent des séances d'observations de groupe, puisque notre nombre avait considérablement augmenter. Rien n'était fait dans la douleur, tout n'était qu'épreuve physique ou observation d’interaction. J'avais peur des gardes, mais à l'age que j'avais, je finis par m'habituer à ce rythme de vie. Les choses changèrent lors de la quatrième année. Il ne restait plus qu'une dizaine de cellule vide alors. C'est là que débuta les expériences chimiques...

    Ils réduisirent de plus en plus les expériences de groupe et se concentrèrent sur les expériences individuelles. Ils m'emmenaient environ une fois par semaine hors de la grande salle cellule et m’entraînaient dans le centre. Je n'avais aucune idée de l'endroit où j'étais précisément. Dans mon esprit, je devais être à l'institue E.B.M.M. scientifique, là où ma mère avait travailler durant tant d'année. Mais rien n'était comme elle me l'avait décrit. Il n'y avait pas d'autre cellules ni de couloirs interminables de salles d'expérience où l'on pratiquaient mille et un sévices à des Shorders. D'ailleurs, jamais je ne croisa un seul Shorder au centre. Plus encore, jamais je ne vit l'extérieur, puisqu'il n'y avais aucune fenêtre dans le centre. Du moins, là où on m'emmenais... Je commençait à comprendre que je n'était pas où je croyais être. Mais où alors? Le monde n'était plus assez vaste pour s'y perdre, non?
    Quoi qu'il en soit, on m’entraînaient maintenant dans une grande salle blanche où plusieurs scientifiques m'observaient, prenaient des données, branchaient toute sorte d'appareils sur mon corps. J'avais toujours une voix dans ma tête qui me disait de fuir, de ne pas les laisser s'approcher. Cette voix, c'était celle de ma mère. Ainsi, je n'avais jamais accepter de me soumettre, et du coup, on m'attachait lors de ces séances. Je n'était pas bien dangereux à l'époque, pas du tout en fait, du à mon jeune âge et du au fait que je n'avais jamais suivit d'entrainement au combat. Pour eux, je n'étai qu'un enfant agité. Puis il commencèrent les injections. Au début, je ne ressentit aucun effet. Puis, des malaises me prirent. Et plus les jours avançaient, plus les injections se succédaient, plus les douleurs apparaissaient, de plus en plus violentes. J'avais l'impression d'exploser de l'intérieur. Je n'étais pas seul dans mon état. Dans les cellules, de plus en plus le mal se propageait et la fausse impression de calme et de routine tranquille s'envola aussitôt. Les cris de douleur, de peur et de folie s’élevèrent, parvenant à mes oreilles durant toute la journée. L'horreur, la vrai, venait de commencer.

    Six mois avant la fin, toutes les cellules étaient complètes. 70 humains vivaient dans la peur, tous sous l'effet des injections préparatoires. Puis un jours, nous fumes tous au même stade. Là, les mercenaires sont venu. J'étais à une extrémité de la rangé de cellule, et je pu voir tout le processus enclencher par les gardes puisqu'il commencèrent à l'extrémité opposé des cellules. Sur le visage de chacun, on tatouaient un numéro en compensant par le numéro 1. Nous étions 70, j'étais l'avant dernier, le 69e. Le chiffre toujours gravé sur ma joue aujourd'hui, vient de cette fois là. Le lendemain, tout devait commencer et finir à la fois.
    L'agitation des scientifiques et des gardiens était palpable. Il y avait des dizaines de scientifiques qui venaient et allaient dans la grande salle-cellule. Puis, un par un, on vint chercher les prisonnier, dans l'ordre qu'on les avaient tatouer. Malgré les portes blindé, on entendit les cris de douleur, quelques coup de feu de temps à autres. Les hommes revenaient, du sang sur leur habits et leurs mains, et continuaient à emmener les prisonniers. La peur panique s'installa chez tout ces qui restaient, et les mercenaires devaient lutter pour emmener les sujet d'expérience. Jamais les prisonniers ne revenaient. Une étrange impression m'avait alors prit au ventre. Toute cette histoire, ces expériences préparatoires, avaient servis pour ce jour là. Je le sentait au fond de moi même. Je sentait également que s'ils m'emmenaient, jamais je ne reviendrait non plus, ici, ou ailleurs. Je savais, je sentait, que j'allais mourir si je les suivait. Ils en était au 55e cobaye lorsque j'entendit mon voisin, le numéro 70, me parler à travers les barreau de nos portes. C'était un vieil homme, un ancien espion, qui était arrivé un peu plus de six mois plus tôt. Il me dit qu'il ne les laisserais pas faire. Qu'il ne les laisserais pas l'emmener, ni lui ni moi. Pourquoi moi? Je n'ai jamais oser lui demander, la gorge nouer par la peur et l'empressement. Mais je crois que c'est à cause de mon jeune age. J'avais à peine 10 ans alors. L'autre prisonnier le plus jeune en avait 17 et il était un espion de la Guilde, et déjà, on l'avait emmener parmi les premiers.
    Lorsque les mercenaires arrivèrent à ma porte, je sentit l'homme à coté de moi se raidir. La porte s'ouvrit, et dans un geste, l'homme sortit le bras par le trou des barreau de sa porte, attrapa un Mercenaire par le collet et lui rabattit le coup directement sur les barreau. Un craquement sinistre me fit frissonner et le mercenaire tomba au sol, mort, la nuque brisé. Ce fut le premier mort que je vit. Les deux autres mercenaires sortirent de ma cellule sans la refermer et ouvrirent celle du vieil espion. Ce dernier les attendaient ferme. Il en mit un K.O. d'un coup de pied et maîtrisa l'autre avec plus de difficulté. Il finit par saisir son arme à feu et tira. Deuxième mort. Il sortit ensuite à l'extérieur, tirant quelques balles À blanc, laissant les scientifiques à leurs panique, m'attrapa par la main et m’entraîna derrière lui. Je me laissa guider, le coeur battant la chamade dans mes oreilles. Complètement affolé, je vécu notre fuite comme dans un autre monde. Des coups de feu furent tirer, du sang gicla sur les murs trop blanc, et des cris résonnèrent, s'ajoutant à l'alarme d'urgence. Puis, sans que je ne m'en rende compte, nous fîmes dehors. La lumière m'aveugle, je ralentis, et je n'eu que le temps d’apercevoir le bleu du ciel et l'ocre de la terre à l'infini avant qu'un coup violent ne me percute dans le dos et que tout devienne noir.

    Je n'ai aucune idée comment nous avons réussi à nous enfuir et à survivre. Je me réveilla dans un décors de montagne, une douleur cuisante dans le bas du dos. Je tenta de m'orienter et de me redresser, affoler.

    " Ne bouge pas, tu es gravement blesser. "

    Je sursauta et me retourna. Le vieil espion me faisait face. Il avait fait un petit feu et était assis de l'autre coté. D'où j'étais, et dans la noirceur de la nuit, je ne remarqua qu'a peine ses blessures, mille fois pires que les miennes. Un moment d'hésitation me prit, puis j'ouvrit la bouche et les seules questions que je pouvais poser en sortirent.

    " Où... où on est? Pourquoi ils nous ont attaquer? Où sont les autres? Et... "

    " Les autres sont morts. "

    J'en eu le souffle coupé. Nous vivions dans un monde rude. Cet homme avait grandi dans ce monde, et après tout ce qu'on avaient vécu, passer par quatre chemin était interdis.

    " J'enquêtait sur ces histoire de disparition depuis trois ans déjà... J'ai voulu m'introduire à l'institue, mais je m'y suis fait prendre. C'est là qu'ils m'ont emmener. Tout ces gens, toi et moi y compris, on faisaient partie d'une expérience sur le gène "S". Les scientifiques voulaient recréer des Shorder en laboratoire. L'expérience n'a pas marcher, du coup, tous sont morts. "

    " Qui êtes vous? "

    " Je m'appèle Azaan de Sereïn'Dall, arrière petit fils de Leylä de Sereïn'Dall, commandant de la Guilde des Espions. Et toi? "

    J'hésita, impressionner par le titre, même si j'ignorait globalement ce qu'il signifiait vraiment.

    " Ayden d'Ezilea. "

    L'homme hocha la tête puis m’incita à dormir encore un peu. Déjà, mes paupières se refermèrent. Étrangement, je ne m'était jamais senti aussi en sécurité depuis 5 ans que près d'Azaan.

    Camp Rebelle Shorder, an 45 de la Nouvelle Ère à aujourd'hui

    Nous arrivâmes deux jours plus tard au camp Shorder, au centre d'une immense forêt dont je n'avais eu jusque là que des échos. Aussitôt arrivé, plusieurs personnes se jetèrent sur nous et m'emportèrent alors qu'Azaan, comme s'il avait tenu debout jusque là simplement par ce que sa mission n'était pas terminé, s'écroulait au sol, inconscient. Il ne se réveilla jamais. Mortellement blesser, l'ancien commandant de la Guilde mourut deux jours plus tard. Ce fut à moi de raconter notre histoire, pour ce que j'en savais. Le mystère de l'endroit où j'avais été enfermé pendant 5 ans s'envola avec Azaan, puisque j'avais été inconscient à l'aller comme au retour. On m'apprit ce qu'était le camp Rebelle, ce en quoi consistait cette guerre, ce qu'avait été ma mère et celui que je finit par considère comme mon père, Azaan. Cet homme m'a sauver la vie, sans lui, je ne serais pas là aujourd'hui. Je voue un respect et une gratitude sans fin pour ce légendaire commandant de la guilde, dernier descendant de la ligné de Leylä de Sereïn'Dall.

    Je resta au camp Shorder. Suivant les traces d'Azaan, je demanda à suivre la formation d'espion, ce qui se fit. Au camp, je rencontra des gens extraordinaire. Les dirigeants de l'époque, puis ceux qui leurs succédèrent peu à peu, lorsque j'achevais ma formation. Également, je rencontra les deux personne qui allait inconcevablement construire mon nouvel univers. Light de Luïwen était un apprenti de la Division Noire. Intimement lier à la Guilde, ce groupe me fut bien connu très tôt. Light devint mon meilleur ami. Mon bras droit, mon frère. Puis il y eu Maïwen... Une autre apprenti de la Division Noire. Je ne raconterais pas l'histoire qui me lie à elle. Pas plus que la mission qui, il y a 7 ans, changea tout. Ces choses sont trop personnelles, ne concernent que moi et elle. J'emporte le secret avec moi, qui n'est à ce jour connu que de moi. Peut-être un jour éclora-t-il, je n'en ai aucune idée. Mais d'ici là, le silence suffira.

    Je devint Espion à part entière à l'age de 17 ans, soit 7 ans après mon arrivé au camp. Les missions se succédèrent et je continua mon chemin sur celui que j'avais choisis, suivant les traces qu'avaient commencer à marquer ma mère et Azaan. J'avais maintenant plus que des mémoires et ma propre vie à défendre. J'avais des amis, des proches, des êtres que j'aimais plus que tout. J'avais un clan, des idéaux à défendre. Puis vint le deuxième impacte. Cet épreuve me toucha beaucoup, comme tout le monde, puisqu'il y eu beaucoup de mort, de dégâts et de blesser. Le soir du deuxième impacte, je sauva de l'institue mon amie, et l'amoureuse de mon meilleur ami, Nemo. Elle était à l'époque apprenti guérisseuse. C'est un des geste dont je suis le plus fière à ce jour. Mais allez savoir pourquoi, quelque chose à changer À partir de ce jour, sans que je puisse vraiment définir quoi.
    Le capitaine de la division de la forêt de Loreleï de la Guilde mourut lors du deuxième impacte. Lorsque les choses se calmèrent, près de 6 mois plus tard, on me confia le poste de capitaine de zone pour le remplacer. Un honneur que je m'efforce d'être à la hauteur. Aujourd'hui encore, je m'efforce d'honorer tout ce dont la vie m'a donner, toute ces personnes qui m'ont permit d'exister. Et aujourd'hui, plus encore que tout cela, je suis un but. Protéger, en plus des idéaux et de mon clan, une personne en particulier. Et ça, je m'en rend compte aujourd'hui, est peut-être la plus dure épreuve que j'aurais jamais traversé.

    Avatar : Hisagi Shuuhei (Bleach)
    Famille & autres relations :


    Maïwen de Flow’Right
    guerrière de la division noire

    La guerrière est sa meilleure amie depuis toujours et... à son insu, Ayden en est éperdument amoureux. Il s'en veut plus que tout pour ce qu'il lui est arrivé, s'en rendant responsable, et lui cache la vérité pour la protéger.

    Light de Luïwen
    guerrier de la division noire

    Son meilleur ami. Leur complicité n'a pas d'égal, et malgré qu'ils ne soient pas du même groupe, ils sont redoutables au combat ensemble.

    Nemo
    apprentie guérisseuse

    L'amoureuse de son meilleur ami, Light, est devenue au fil des ans l'une de ses grandes amies. Ayden l'a d'ailleurs secourue après le second impacte, alors qu'elle était prisonnière de la Nation des Hommes.

    Zaiko de Kagami
    mercenaire

    Il le hait. Comment peut-on haïr quelqu'un comme il le haït? Impossible de le décrire. Ayden est le seul être à savoir ce qu'il a un jour fait et garde le secret pour le bien de celle qui lui est le plus chère. Mais sa haine et sa culpabilité finiront par consumer l'espion...


Adoption
    Créateur :
    Pour une demande d'adoption : La fiche étant complète, un RP d’exemple de quinze lignes minimum est demandé : un bon niveau est attendu pour ce personnage ! Nous aimerions le voir rapidement en RP, donc tentez le coup, nous en serons pas non plus trop exigeant…
    Il est très lié à Maïwen de Flow'Right, comme vous avez pu le constater, qui est jouée par Zack Tyll’Illianz. Il est d'ailleurs amoureux d'elle, et pour optimiser les possibilités de RP, veuillez contacter Zack lors de l'adoption de ce personnage.
    Il est également le meilleur ami de Light de Luïwen, joué par Ichigo.
    État : LIBRE - PRIS - RÉSERVÉ




Dernière édition par Shaar-Lun the BlackWolf le Ven 17 Juin - 1:34, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeMer 27 Oct - 17:12
.: Adoption :.

    »»

    {* Pseudo : Looky
    {* Codes : Ok By Aki

    »»

    {* Comment avez-vous trouvez le forum? : Sais plus xD
    {* Comment le trouvez-vous? : Moche xD Mheu nan, je l'adore^^
    {* Avez vous de l'expérience en forum RPG? : à peine 6 années xD
    {* Autres : J'avais un oeil sur lui depuis un moment, mais j'hésitait à le prendre puisqu'Alec me tentait aussi... Finalement, puisque je joue déjà un personnage avec un poste important, soit Sayer, et pour faire plaisir à Ichi et Bloody' xD Bha j'ai finalement penché vers Ayden! Me reste aussi la fiche de Théo à terminer, mais faut que je parle avec Shad' pour ça... Z'inquiètez pas les gens, ça s'en viens!
    Bref, aussi, je sais qu'il n'est pas terminé, au sens ou la rédaction de son histoire n'est pas complèter, mais j'ai déjà pris contacte avec Zack et on va s'y mettre à deux, ça va aller plus vite^^

    »»

    {* RP d'exemple si demander par le créateur : Je m'arrange avec Zack^^ et de toute façon, je rédact son histoire avec elle donc... xD
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeMer 27 Oct - 20:20
    KYA!!! Enfin quelqu'un de preneur pour notre tit Ayden!!! * Saute partout xD *
    Si vous vous aranger toutes les deux, c'est sur que je n'ai aucune objection^^ Je connais déja les grandes lignes de l'histoire et tout, donc c'est bon de toute facon Wink
    Alors codes bon, tout bon... manque plus que la fin de l'histoire et VLAN! » Validé xD
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeJeu 10 Mar - 5:28
    Alors finalement tout est bon?
    Est-ce qu'il faut que 'atende la fin de l'histoire ou...? Je demande car puisque le fow est tombé en stand by juste après ma demande, je ne suis plus sur de rien pour lui. S'il est toujours libre, je suis toujours preneuse. Je pensait attendre encore un peu avant de me prendre un autre personnage, mais si vous m'accoredez Ayden, c'est clair que je le prend! JE suis en amour avec ce persow^^ Bref, redonnez mois en des nouvelles, merci!
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Ellana
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeJeu 10 Mar - 23:13
Exceptionnellement, tu peux commencer à jouer même si la fiche n'est pas fini... si t'es inspirée, lances toi ! A ma connaissance le perso n'a pas été pris par quelqu'un d'autre, et puis, si tu l'aimes, on ne va pas t'en priver ^.^
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeVen 11 Mar - 19:25
    Exactement^^
    Il t'était déjà réservé, et comme on s'était entendu avec Zack, l'histoire pourra être compléter en RP, surtout puisqu'on hésitait déjà à tout raconter son histoire, question de garder du suspense. Alors puisqu'il t'intéresse toujours, il est à toi^^
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeMer 6 Avr - 7:10
    Alors c'est bon, j'adopte xD
    J'ai parlé avec Zack, on va faire une fin à l'histoire, rapidement, et garder la vraie histoire caché pour pouvoir la dévoiler en RP, question de garder un peu de punch ( et de libérer le persow plus vite ».« ), donc ca arrive bientôt!

    Merci Razz
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeJeu 7 Avr - 16:56
    Perfect^^
    Alors on attend plus que ca xD
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeMer 15 Juin - 19:58
    Voila, fini xD Enfin, on a terminer l'histoire! Et en plus, on a beeeeeeeeaucoup écourter, en étouffant toute l'histoire avec Maïwen et tout^^ Bon, alors je me lance dans le RP une fois que c'est validé! J'en ai déja deux de réserver pour lui Razz
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeVen 17 Juin - 1:32
    C'est bien, ca garde des punch xD
    Validé! Il est admis en RP, brovo pour la fiche et bonne game avec lui Razz
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitimeJeu 23 Juin - 22:22
    Tank's mate!
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MessageSujet: Re: - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption   - Ayden d'Ezilea - [ Humain ] { Espion - Capitaine de Division } » Adoption Icon_minitime
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