Ellana
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En savoir plusPUF : deux poignards de jet
Nombre de messages : 444
Age : 30
Double Compte : 27 ans
Personnage Principal
Race: Hybride
Clan: La Guilde des Espions
Armes:
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| Sujet: Alice de Seilan [humaine]{recrue mercenaire} ![Alice de Seilan [humaine]{recrue mercenaire} Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mar 17 Aoû - 16:09 | |
| Carte d'identité  Nom: de Seïlan
Prénom(s) : Alice
Age : 14 ans
Date et lieu de naissance : 01/10/47, Nakasuma
Camp : Nation des Hommes
Rang : recrue mercenaire
Niveau d'activité du gène "S" : 0
Race : humaine
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descriptionDescription physique : De petite taille, Alice a de longs cheveux bruns qu’elle attache en deux couettes le plus souvent, ou alors qu’elle laisse libre. Du plus loin qu’elle s’en souvienne, elle a toujours eu une mauvaise vue : ce n’est pas pour rien que ses yeux sont d’une couleur rouge. Un problème génétique les affecte, ce qui fait qu’elle voit trouble. En conséquence, ses autres sens se sont développés plus que la normale, notamment son odorat. Elle a une perception bien a elle du mouvement qui fait qu’il est quasi impossible de la surprendre. Vive et agile, elle est exceptionnellement souple, cela, associé à sa taille, fait qu’elle se glisse n’importe où. Son visage a perdu les rondeurs de l’enfance, ses traits fins lui confèrent une beauté particulière mais bien réelle. Elle ne se repose jamais sur ses muscles, car elle a d’autres atouts. Son aura est effrayante, quand on la voit on a l’impression d’avoir un démon en face de soi.
- signature:
Caractère : Froide, sanguinaire, presque sadique, Alice n’est plus une enfant depuis bien longtemps. Détachée de tout, excessivement moqueuse, elle est absolument insupportable. Pleine de sang froid, elle n’a pas peur de la mort, que ce soit pour l’infliger ou pour la recevoir. Elle va jusqu’au bout de ce qu’elle accomplit, avec un acharnement presque effrayant. Pourtant, avec sa sœur, Yaëlle, elle est la gamine qu’elle devrait être. Chaleureuse, aimante avec celle qui est à la fois sa seule et unique camarade et sa seule et unique famille… Pour vous, simples proies ou au mieux collègues de travail, ses yeux froids vous clouent sur place quand elle pose le regard sur vous, tant la soif de sang et la haine brille dans son regard. Elle n’a que faire de ce qu’on dit d’elle, peu lui importe qu’on la fuie comme la peste. Elle n’a pas besoin de la reconnaissance des autres pour avancer. Pas besoin d’être entouré, car un lien est un superflu, une entrave à la mission. En clair, Alice est une enfant comme il en naît rarement, totalement opposé à l’image qu’on pourrait avoir d’une jeune fille de tout juste quatorze ans. Elle méprise profondément les hommes, mais son besoin de tuer l’a conduit parmi les Mercenaires…
Manies & Tics : [libres]
Passions : [libre]
Autres particularités : [libre]
Histoire : 1er octobre 47. Alice naît. Au dehors, le vent souffle, la terre paraît se rebeller contre le joug humain. L’accouchement se passe dans la souffrance, et quand le bébé pousse son premier cri, ouvre ses yeux rouges, il est déjà trop tard pour la mère. Morte en couche. Ainsi est venu au monde Alice. En tuant déjà. Ce fut le premier pas vers son avenir.
Son père était un scientifique. Ravagé par la mort de sa femme qu’il aimait profondément, il a rejeté la faute sur ses deux filles, les a délaissées. Yaëlle et Alice ont grandi avec leur père, battues, parfois laissées sans manger pendant plusieurs jours, jusqu’à ce que l’aînée attrape quelques affaires, la main de sa sœur, et fuit la maison avec ses maigres biens. Réfugiées dans les quartiers pauvres, elles sont devenues ce qu’elles sont désormais. Des êtres méprisants à l’égard de la race humaine. Et pourtant si douces l’une pour l’autre.
Alice développa sa souplesse, Yaëlle sa force et son talent d’artiste martiale. Seules. Ainsi, la plus jeune ramenait de quoi manger, la plus âgée protégeait leur ‘foyer’, une bâtisse en ruines qui n’était plus en état d’accueillir qui que ce soit. Economisant ce qu’elle volait, Alice mettait peu à peu sur pied un projet. A neuf et dix ans, quelques mois avant le second impact, les deux sœurs pensaient déjà à la vengeance. Le sang qui avait coulé appelait, dans leur esprit, du sang en réparation. Et elles iraient le chercher. Le second impact passa comme un mirage. Un gros tremblement de terre, quelques bâtisses effondrées, et on en faisait tout un plat ? Quelques personnes étaient mortes et alors ? Ils n’étaient que des humains persuadés d’être heureux, ridicules au possible. C’est ce qu’elle pensa, la petite Alice, alors. Elles attendirent encore un an, développant leurs talents, préparant minutieusement ce qu’elles appelaient le plan V. V, pour vengeance, bien évidemment. Et puis… elles passèrent à l’action…
« J’en ai pour deux minutes, cinq à tout casser. Attends moi devant la porte d’entrée. »
Alice prononça ces mots, puis observa l’immeuble résidentiel. Equipée d’un acide attaquant le verre qu’elle avait mis des semaines à trouver, puis à dérober. Yaëlle acquiesça en silence et passa la porte. La gamine se retrouva seule. Il était tard, pas loin de minuit, mais leur cible – elle refusait de penser leur père – n’était pas encore de retour. Il se perdait dans son travail, comme toujours. Personne dans la rue. Dans un silence parfait, la petite brune s’approcha du mur. On aurait pu penser qu’il n’offrait aucune prise. Mais pour la grimpeuse souple et sans peur qu’elle était, c’était comme marcher sur le sol. Utilisant tous ces appuis, elle se hissa au premier étage. L’oreille collée à la vitre qu’elle avait atteint, sans se soucier du fait qu’elle était en équilibre précaire sur le rebord de la fenêtre. Elle écouta. Personne. Comme prévu. Comme si elle avait été tranquillement assise sur une chaise, Alice sortit la petite fiole. L’ouvrit, et versa quelques gouttes sur le panneau de verre. Un trou s’agrandit rapidement. Bien que ridiculement petit, la petite s’y glissa sans difficultés, en se contorsionnant de manière à éviter le contact direct avec ce qu’il restait d’acide. Elle se rendit à la porte, tourna le verrou, et fit entrer sa sœur. Puis elle referma la porte, toujours en silence. Elle récupéra sa petite dague achetée avec le fruit de ses vols, tandis que Yaëlle sortait la sienne également. Puis l’attente débuta. Une heure, puis deux passèrent. Et enfin, enfin, la cible passa la porte. Alluma la lumière. Laissa tomber ses clés de surprise. Avant de crier.
« Où étiez vous espèce de sales petites pestes ?! »
L’homme cru sans doute qu’il avait la berlue. Sa cadette avait bougée, plus vite qu’il ne l’en aurait cru capable. Elle était désormais juste devant lui.
« Silence… » murmura-t-elle d’un ton glacé. Puis, sans hésiter, ses yeux rouges plus froid que la glace, elle enfonça son arme jusqu’à la dague dans l’abdomen de son père. Tourna la lame avant de la retirer de la plaie. Le sang éclaboussa son visage, mais elle n’en eut que faire. Eclata même de rire, suivie par Yaëlle.
« Tu vois ça, père ? C’est le sang que tu nous dois, le sang que tu as versé alors que nous ne voulions rien d’autre qu’un peu d’attention. Et il en faudra plus, bien plus, pour laver notre rancune, pour effacer notre colère. »
La deuxième gamine s’approcha, d’un pas tranquille, sa propre arme à la main. Un sourire carnassier sur le visage.
« Chacun son tour ma chère sœur. »
Il mourut dans la terreur, et chaque goutte de sang qui coulait satisfaisait encore et encore les deux gamines.
Elles quittèrent la bâtisse, les mains tâchées de sang, mais pleinement satisfaites…
Seulement voilà. Elles ne savaient plus que faire. Elles avaient perdues le goût d’être heureuse. Jusqu’au jour où elles entendirent parler des mercenaires. Tuer pour de l’argent, traqué des proies comme avaient traqués leur père. C’était ce qu’elles voulaient faire. Quatorze et quinze ans, c’était bien jeune pour devenir recrues. On leur avait rit au nez. Jusqu’à ce que, mortellement sérieuse, Yaëlle lance :
« Donnez nous une mission. N’importe laquelle. Nous l’accomplirons. Serait-ce suffisant pour vous décider messieurs ? »
Son ton assuré, l’air indifférent d’Alice, leurs regards froids. Néo d’El’Vanns reconsidéra brusquement l’opportunité d’accepter ces recrues. On leur demanda d’assassiner un espion Shorder basé en ville, repéré depuis peu. Néo lui-même les suivit. Elles ressortirent de la bâtisse sans qu’un seul cri n’ait percé, Alice léchant un peu de sang qui coulait de sa dague. La cible était morte. Alice et Yaëlle commencèrent à s’entraîner au centre scientifique…
Avatar : Alice (Pandora Hearts)
Famille & autres relations :
 Yaëlle de Seïlan recrue mercenaire
Sa sœur et la seule qu’Alice aime réellement. Leur relation est quasi-fusionnelle, elles se comprennent parfaitement, et rien ne saurait les séparer, pas même l’apocalypse… |  Néo El’Vanns Commandant des mercenaires
Alice lui vouerait presque un peu de respect, bien que ce ne soit pas dans ses habitudes. Elle ne se gêne pas plus qu’avec les autres pour lui dire ce qu’elle pense, malgré son importance. Alice se fiche pas mal de ces détails ci. |
Créateur : Ellana
Pour une demande d'adoption : Pas de RP d’exemple, il faut compléter la fiche, en rédigeant et/ou étoffant les différentes choses.
État : LIBRE - PRIS - RÉSERVÉ
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